Algérie : le défi d'une géopolitique régionale à définir
Le président algérien sortant Abdelmadjid Tebboune a été réélu pour un deuxième mandat avec un score record de près de 95 % des voix, à l'issue d'un scrutin marqué par une désaffection persistante de l'électorat. Il y a un déficit démocratique mais aussi des défis à l'international comme le différent avec le Maroc sur le Sahara occidental. Les explications de Brahim Oumansour, chercheur associé à l'IRIS et directeur de l'Observatoire du Maghreb.
Quelle est votre réaction ?