Amnesty: la décision sioniste de couper l'électricité à Ghaza, une nouvelle preuve du génocide commis contre les Palestiniens
LONDRES - L'ONG des droits de l'homme Amnesty International a souligné que la décision de l'entité sioniste de couper l'électricité à la principale usine de dessalement de Ghaza constitue une "nouvelle preuve" du génocide commis contre le peuple palestinien. Amnesty a souligné aussi dans un communiqué publié lundi sur les réseaux sociaux que cette décision "intervient une semaine après avoir stoppé l'entrée de l'aide humanitaire et des fournitures commerciales, y compris du carburant et de la nourriture, en violation du droit international humanitaire". La décision de l'occupant sioniste de couper l'électricité à Ghaza continue, par ailleurs, de susciter de vives réactions internationales. Dans ce contexte, plusieurs pays et organisations internationales dont les Nations unies ont mis en garde contre de "graves répercussions" sur la population civile de Ghaza suite à l'arrêt par l'occupation de l'approvisionnement en électricité de l'enclave dévastée par plus de 15 mois d'agression sioniste, la privant également de livraisons de carburant pendant plus d'une semaine. En Palestine, le ministère des Affaires étrangères a condamné la décision sioniste, appelant à "une intervention internationale urgente pour fournir une protection internationale au peuple palestinien".

LONDRES - L'ONG des droits de l'homme Amnesty International a souligné que la décision de l'entité sioniste de couper l'électricité à la principale usine de dessalement de Ghaza constitue une "nouvelle preuve" du génocide commis contre le peuple palestinien.
Amnesty a souligné aussi dans un communiqué publié lundi sur les réseaux sociaux que cette décision "intervient une semaine après avoir stoppé l'entrée de l'aide humanitaire et des fournitures commerciales, y compris du carburant et de la nourriture, en violation du droit international humanitaire".
La décision de l'occupant sioniste de couper l'électricité à Ghaza continue, par ailleurs, de susciter de vives réactions internationales.
Dans ce contexte, plusieurs pays et organisations internationales dont les Nations unies ont mis en garde contre de "graves répercussions" sur la population civile de Ghaza suite à l'arrêt par l'occupation de l'approvisionnement en électricité de l'enclave dévastée par plus de 15 mois d'agression sioniste, la privant également de livraisons de carburant pendant plus d'une semaine.
En Palestine, le ministère des Affaires étrangères a condamné la décision sioniste, appelant à "une intervention internationale urgente pour fournir une protection internationale au peuple palestinien".