500 violations contre les journalistes palestiniens depuis début 2024
RAMALLAH (Palestine occupée) - Plus de 500 violations contre les journalistes palestiniens ont été commises par les forces d'occupation sioniste, depuis le début de l’année 2024, a dénoncé mardi le Syndicat des journalistes palestiniens. S'exprimant lors d'un sit-in hebdomadaire tenu dans le centre culturel d'Al-Bireh, en soutien aux détenus palestiniens dans les prisons de l'occupation, le président du comité des libertés du syndicat des journalistes, Mohammed Al-Laham, cité par l'agence palestinienne de presse, Wafa, a fait état de 44 journalistes tombés en martyrs au cours du premier semestre de l'année 2024. Selon le responsable, le nombre des journalistes blessés est, lui, passé à 108, dont environ la moitié par balles, des fragments de missiles et de projectiles, alors que 26 autres ont été arrêtés. Les données publiées sur le site Web du Syndicat des journalistes palestiniens, reprises par Wafa, font également état de l'arrestation de 51 employés du secteur des médias par les forces sionistes, sur un total d'environ 100 détenus depuis le 7 octobre 2023. A cet égard, le président de la commission des libertés du Syndicat des journalistes a évoqué les récits terrifiants sur les "horreurs" des agressions dans les geôles sionistes, rapportés par des journalistes, y compris le harcèlement sexuel, verbal et physique, déplorant le silence de la communauté internationale sur la question palestinienne. Au cours du premier semestre de l'année en cours, les forces d'occupation ont tiré sur des journalistes pour les dissuader de mener à bien leur mission sur le terrain, outre la confiscation du matériel et des équipements de travail, et la fermeture des bureaux de presse. S'ajoutent sept agressions menées par des colons extrémistes contre des journalistes. Pour sa part, le président de la Commission des affaires des prisonniers et des ex-prisonniers palestiniens, Qadoura Fares, a appelé à une grève mondiale, le 3 août prochain, "un jour décisif pour sauver Ghaza et les détenus palestiniens".
RAMALLAH (Palestine occupée) - Plus de 500 violations contre les journalistes palestiniens ont été commises par les forces d'occupation sioniste, depuis le début de l’année 2024, a dénoncé mardi le Syndicat des journalistes palestiniens.
S'exprimant lors d'un sit-in hebdomadaire tenu dans le centre culturel d'Al-Bireh, en soutien aux détenus palestiniens dans les prisons de l'occupation, le président du comité des libertés du syndicat des journalistes, Mohammed Al-Laham, cité par l'agence palestinienne de presse, Wafa, a fait état de 44 journalistes tombés en martyrs au cours du premier semestre de l'année 2024.
Selon le responsable, le nombre des journalistes blessés est, lui, passé à 108, dont environ la moitié par balles, des fragments de missiles et de projectiles, alors que 26 autres ont été arrêtés.
Les données publiées sur le site Web du Syndicat des journalistes palestiniens, reprises par Wafa, font également état de l'arrestation de 51 employés du secteur des médias par les forces sionistes, sur un total d'environ 100 détenus depuis le 7 octobre 2023.
A cet égard, le président de la commission des libertés du Syndicat des journalistes a évoqué les récits terrifiants sur les "horreurs" des agressions dans les geôles sionistes, rapportés par des journalistes, y compris le harcèlement sexuel, verbal et physique, déplorant le silence de la communauté internationale sur la question palestinienne.
Au cours du premier semestre de l'année en cours, les forces d'occupation ont tiré sur des journalistes pour les dissuader de mener à bien leur mission sur le terrain, outre la confiscation du matériel et des équipements de travail, et la fermeture des bureaux de presse. S'ajoutent sept agressions menées par des colons extrémistes contre des journalistes.
Pour sa part, le président de la Commission des affaires des prisonniers et des ex-prisonniers palestiniens, Qadoura Fares, a appelé à une grève mondiale, le 3 août prochain, "un jour décisif pour sauver Ghaza et les détenus palestiniens".
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