Appel à traduire les œuvres de Moufdi Zakaria vers les diverses langues du monde
SKIKDA - Les participants à une conférence nationale sur "la poésie et la révolution, Moufdi Zakaria (1908-1977), exemple", organisée samedi à Skikda, ont appelé à traduire les œuvres de ce poète vers diverses langues du monde pour s’en inspirer. Hadj Moussa Benamor, président de la Fondation Moufdi Zakaria et enseignant à l’Ecole normale supérieure (ENS) de Bouzaréah (Alger), a souligné l’importance de la traduction des œuvres du poète de la révolution vers les autres langues pour s’en inspirer, faisant état de deux projets de traduction de "Iliadhat El Djazaïr" vers la langue amazighe. De son côté, le moudjahid Henni Bakir Benmoussa de Ghardaïa a évoqué les qualités de Moufdi Zakaria qu’il avait côtoyé affirmant qu’il était d’une "humilité extrême et très attaché aux traditions et à l’authenticité de son pays". Pour le président du Haut conseil de la langue arabe et membre de la Fondation Moufdi Zakaria, Salah Belaïd, l’auteur de l’hymne national Kassaman fut une source d’inspiration pour beaucoup de poètes à l’intérieur et à l’extérieur du pays et "demeure pour nous une source de fierté par le fait d’avoir su glorifier par le verbe la révolution algérienne". Tenue à la bibliothèque principale de lecture publique " Noureddine Sahraoui ", la conférence qui a coïncidé avec le 47ème anniversaire du décès du poète a été organisée conjointement par la direction de wilaya des moudjahidine, la Fondation Moufdi Zakaria et plusieurs autres acteurs et a donné lieu à des récitals poétiques et des communications sur la vie et l’œuvre du défunt poète.
SKIKDA - Les participants à une conférence nationale sur "la poésie et la révolution, Moufdi Zakaria (1908-1977), exemple", organisée samedi à Skikda, ont appelé à traduire les œuvres de ce poète vers diverses langues du monde pour s’en inspirer.
Hadj Moussa Benamor, président de la Fondation Moufdi Zakaria et enseignant à l’Ecole normale supérieure (ENS) de Bouzaréah (Alger), a souligné l’importance de la traduction des œuvres du poète de la révolution vers les autres langues pour s’en inspirer, faisant état de deux projets de traduction de "Iliadhat El Djazaïr" vers la langue amazighe.
De son côté, le moudjahid Henni Bakir Benmoussa de Ghardaïa a évoqué les qualités de Moufdi Zakaria qu’il avait côtoyé affirmant qu’il était d’une "humilité extrême et très attaché aux traditions et à l’authenticité de son pays".
Pour le président du Haut conseil de la langue arabe et membre de la Fondation Moufdi Zakaria, Salah Belaïd, l’auteur de l’hymne national Kassaman fut une source d’inspiration pour beaucoup de poètes à l’intérieur et à l’extérieur du pays et "demeure pour nous une source de fierté par le fait d’avoir su glorifier par le verbe la révolution algérienne".
Tenue à la bibliothèque principale de lecture publique " Noureddine Sahraoui ", la conférence qui a coïncidé avec le 47ème anniversaire du décès du poète a été organisée conjointement par la direction de wilaya des moudjahidine, la Fondation Moufdi Zakaria et plusieurs autres acteurs et a donné lieu à des récitals poétiques et des communications sur la vie et l’œuvre du défunt poète.
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