Bombardement d’une école de déplacés à Ghaza: le Hamas appelle à poursuivre en justice l’occupant sioniste
Le mouvement de résistance palestinien Hamas a affirmé que le bombardement par l’occupation sioniste d’une école abritant des déplacés dans le camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de Ghaza, reflète la brutalité de l’occupant et ses tendances criminelles persistantes, appelant à poursuivre les auteurs de ce crime devant les tribunaux internationaux. Le Hamas […]

Le mouvement de résistance palestinien Hamas a affirmé que le bombardement par l’occupation sioniste d’une école abritant des déplacés dans le camp de réfugiés de Bureij, dans le centre de Ghaza, reflète la brutalité de l’occupant et ses tendances criminelles persistantes, appelant à poursuivre les auteurs de ce crime devant les tribunaux internationaux.
Le Hamas a rappelé dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux que « le bombardement de l’école mardi a entraîné le martyre de 18 personnes et la blessure de dizaines de personnes, dont la plupart étaient des femmes et des enfants ».
Et de souligner qu’un certain nombre de victimes se trouvent encore sous les décombres, dans une scène choquante qui s’ajoute à la série d’agressions commises dans la bande de Ghaza depuis le 7 octobre 2023.
Le Hamas a souligné également que « cibler des civils sans défense dans des lieux de refuge et d’abri, dans des conditions humanitaires extrêmement difficiles, révèle l’insistance de l’occupation à commettre des massacres de masse dans le contexte d’une guerre d’extermination systématique visant à déplacer le peuple de Ghaza… ».
Il a ainsi appelé la communauté internationale, les Nations Unies et toutes les organisations humanitaires et de défense des droits de l’homme à « rompre leur silence et à prendre des mesures urgentes et efficaces pour mettre fin aux massacres et à la guerre » sionistes dans l’enclave palestinienne.
Le mouvement a appelé aussi à l' »ouverture des points de passage pour permettre l’entrée de médicaments et de nourriture dans la bande de Ghaza », soumise à un blocus humanitaire sioniste étouffant depuis le 2 mars dernier.