Equipe nationale: La FAF à fond sur Rayan Cherki
Tout porte à croire que la Fédération algérienne de football (FAF) s’investit à fond dans le dossier du joueur de l’Olympique Lyonnais, Rayan Cherki, qui intéresse également d’autres sélections, dont la France et l’Italie. Par Mahfoud M. Le joueur de 21 ans, d’origine algérienne par sa mère, est visé par la FAF sans que celle-ci […]
Tout porte à croire que la Fédération algérienne de football (FAF) s’investit à fond dans le dossier du joueur de l’Olympique Lyonnais, Rayan Cherki, qui intéresse également d’autres sélections, dont la France et l’Italie.
Par Mahfoud M.
Le joueur de 21 ans, d’origine algérienne par sa mère, est visé par la FAF sans que celle-ci n’exerce de pression sur lui, laissant au Lyonnais la liberté de choisir le moment opportun pour trancher, selon les informations du média Foot Mercato. Cherki est actuellement au sommet de sa forme cette saison, avec 5 buts et 7 passes décisives en 18 matchs. Ce qu’il entreprend en club et en sélection Espoirs française montre son immense potentiel, avec 24 sélections et 12 buts sous le maillot bleu. Mais malgré ses exploits, il n’a pas encore été convoqué en équipe de France A, et cela ouvre la porte à d’autres options, dont les «Verts». La FAF a multiplié les contacts avec la famille du joueur, notamment son père, pour discuter d’un éventuel projet sportif. Cependant, le jeune prodige semble vouloir se concentrer sur sa progression en club avant de se prononcer sur son avenir international. Cherki aurait d’ailleurs exprimé son souhait de discuter directement avec Vladimir Petkovic, sélectionneur des Fennecs, afin de mieux comprendre le projet algérien.
Pour les supporters algériens, l’arrivée de Cherki dans les rangs des Verts représenterait un atout de taille. Sa créativité, son sens du jeu et sa capacité à faire la différence dans les moments décisifs sont des qualités rares qui pourraient renforcer l’effectif de la sélection nationale, en pleine transition générationnelle.
La crise financière a touché la fédération
Said Fellak, responsable des médias à la Fédération algérienne de Football (FAF), a récemment livré plusieurs déclarations marquantes lors de son passage sur le plateau d’une chaîne privée. Il a abordé divers sujets, allant des difficultés financières de la FAF aux efforts pour moderniser le football algérien, en passant notamment par les défis linguistiques du sélectionneur national Vladimir Petkovic.
Toutefois, l’une des révélations les plus frappantes lors de ce passage de Said Fellak sur le petit écran concerne la situation financière de la FAF avant l’arrivée de Walid Sadi. Le responsable algérien a exposé l’ampleur des dettes accumulées : «Avant l’arrivée de Walid Sadi à la tête de la FAF, il y avait 700 milliards de centimes de dettes. Sans l’intervention des autorités compétentes, on aurait pu avoir des difficultés pour assurer les déplacements de l’équipe nationale».
Cette situation critique a nécessité une intervention rapide et décisive des autorités pour éviter un impact négatif sur les activités essentielles de la fédération, notamment les déplacements des joueurs et du staff. C’est dire que le pire a pu être évité, grâce à la nouvelle direction de la fédération. M. M.
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