Lancement du premier atelier consultatif sur le projet d'élaboration de la nomenclature des métiers de l'environnement en Algérie
ALGER -Le premier atelier consultatif sur le projet d'élaboration de la nomenclature des métiers de l'environnement a été lancé, dimanche à Alger, dans le but de structurer et d'encadrer ces métiers et d'améliorer les compétences et les formations en adéquation avec les besoins du marché. Le coup d'envoi de cet atelier a été donné par la ministre de l'Environnement et de la Qualité de la vie, Nadjiba Djilali, en présence du ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, et du ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine El Mahdi Oualid. Cet atelier consultatif planchera sur l'élaboration d'un référentiel national complet des métiers de l'environnement, à travers l'identification des métiers existants, émergents et en mutation et leur classification par domaines d'activité et par niveaux de qualification requis, selon les explications fournies à cette occasion. Ce projet permettra de définir les compétences techniques et juridiques associées à chaque métier, d'adapter les formations professionnelles et académiques aux besoins réels du marché, de faciliter l'insertion des jeunes et des universitaires dans le marché de l'emploi et de fournir un outil de référence aux décideurs pour orienter les politiques publiques en matière d'emploi et de formation. Le projet sera mis en œuvre par le Centre national des technologies de production plus propres (CNTPP), avec la participation de représentants de plusieurs secteurs ministériels, ainsi que d'experts et de spécialistes du Conservatoire national des formations à l'environnement (CNFE)Dans une allocution prononcée à cette occasion, Mme Djilali a précisé que cette nomenclature servira de "cadre référentiel national global garantissant l'équité et l'efficacité dans l'accès aux métiers de l'environnement". "Bien plus qu'un exercice administratif ou une simple classification technique, l'élaboration d'une nomenclature nationale des métiers de l'environnement participe d'une vision stratégique à travers laquelle nous entendons inscrire l'emploi-vert parmi les priorités de la planification nationale, lier la formation à l'emploi dans les domaines environnementaux émergents, permettre aux jeunes d'accéder au marché des filières vertes et renforcer la transition vers une économie circulaire innovante basée sur la connaissance et la durabilité", a-t-elle expliqué. Ce travail vient, selon la ministre, "appuyer les efforts de l'Etat, sous la conduite du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, en faveur de la diversification de l'économie, de l'encouragement de l'investissement, de l'ouverture de nouvelles perspectives aux jeunes compétences dans les domaines de l'économie verte, de la connaissance et de l'innovation et de la création de start-up et de micro-entreprises". De son côté, M. Ouadah a mis en avant l'importance de ce projet qui permettra de valoriser le rôle des start-up dans le secteur de l'environnement, faisant état de l'existence de dizaines de micro-entreprises en activité dans ce secteur en plus de plusieurs start-up qui conçoivent des plateformes et des applications spécialisées dans la transformation et le recyclage.


ALGER -Le premier atelier consultatif sur le projet d'élaboration de la nomenclature des métiers de l'environnement a été lancé, dimanche à Alger, dans le but de structurer et d'encadrer ces métiers et d'améliorer les compétences et les formations en adéquation avec les besoins du marché.
Le coup d'envoi de cet atelier a été donné par la ministre de l'Environnement et de la Qualité de la vie, Nadjiba Djilali, en présence du ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, et du ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine El Mahdi Oualid.
Cet atelier consultatif planchera sur l'élaboration d'un référentiel national complet des métiers de l'environnement, à travers l'identification des métiers existants, émergents et en mutation et leur classification par domaines d'activité et par niveaux de qualification requis, selon les explications fournies à cette occasion.
Ce projet permettra de définir les compétences techniques et juridiques associées à chaque métier, d'adapter les formations professionnelles et académiques aux besoins réels du marché, de faciliter l'insertion des jeunes et des universitaires dans le marché de l'emploi et de fournir un outil de référence aux décideurs pour orienter les politiques publiques en matière d'emploi et de formation.
Le projet sera mis en œuvre par le Centre national des technologies de production plus propres (CNTPP), avec la participation de représentants de plusieurs secteurs ministériels, ainsi que d'experts et de spécialistes du Conservatoire national des formations à l'environnement (CNFE)Dans une allocution prononcée à cette occasion, Mme Djilali a précisé que cette nomenclature servira de "cadre référentiel national global garantissant l'équité et l'efficacité dans l'accès aux métiers de l'environnement".
"Bien plus qu'un exercice administratif ou une simple classification technique, l'élaboration d'une nomenclature nationale des métiers de l'environnement participe d'une vision stratégique à travers laquelle nous entendons inscrire l'emploi-vert parmi les priorités de la planification nationale, lier la formation à l'emploi dans les domaines environnementaux émergents, permettre aux jeunes d'accéder au marché des filières vertes et renforcer la transition vers une économie circulaire innovante basée sur la connaissance et la durabilité", a-t-elle expliqué.
Ce travail vient, selon la ministre, "appuyer les efforts de l'Etat, sous la conduite du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, en faveur de la diversification de l'économie, de l'encouragement de l'investissement, de l'ouverture de nouvelles perspectives aux jeunes compétences dans les domaines de l'économie verte, de la connaissance et de l'innovation et de la création de start-up et de micro-entreprises".
De son côté, M. Ouadah a mis en avant l'importance de ce projet qui permettra de valoriser le rôle des start-up dans le secteur de l'environnement, faisant état de l'existence de dizaines de micro-entreprises en activité dans ce secteur en plus de plusieurs start-up qui conçoivent des plateformes et des applications spécialisées dans la transformation et le recyclage.