L’Argentine de Javier Milei fait volte-face : Pas de Brics pour le nouveau président
L’Argentine, sous la présidence de Javier Milei, a surpris le monde en annonçant qu’elle ne rejoindrait pas le groupe des Brics à partir du 1er janvier 2024, marquant ainsi un changement significatif par rapport à la politique étrangère de l’administration précédente de centre-gauche. Cette décision a été confirmée par Milei lui-même dans une lettre adressée […] L’article L’Argentine de Javier Milei fait volte-face : Pas de Brics pour le nouveau président est apparu en premier sur Algérie Focus.
L’Argentine, sous la présidence de Javier Milei, a surpris le monde en annonçant qu’elle ne rejoindrait pas le groupe des Brics à partir du 1er janvier 2024, marquant ainsi un changement significatif par rapport à la politique étrangère de l’administration précédente de centre-gauche.
Cette décision a été confirmée par Milei lui-même dans une lettre adressée aux dirigeants des pays membres des Brics, y compris le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, mettant en lumière les nouvelles orientations diplomatiques de l’Argentine.
Un Changement de Cap Radical
Dans une lettre qui a fait sensation, Javier Milei a expliqué que « l’incorporation de la République argentine aux Brics en tant que membre à part entière à partir du 1er janvier 2024 n’est pas considérée comme appropriée » par son gouvernement. Il a souligné que la politique étrangère de son administration diffère significativement de celle du gouvernement précédent et que certaines décisions prises par l’administration précédente, notamment la participation active aux Brics, seront révisées.
Cette annonce a marqué un changement radical dans la position de l’Argentine, car lors du dernier sommet Brics en août à Johannesburg (Afrique du Sud), le bloc avait annoncé une expansion avec l’invitation à six nouveaux pays membres de les rejoindre à partir du 1er janvier, dont l’Argentine. Cependant, Javier Milei avait déjà exprimé son refus de rejoindre les Brics pendant sa campagne électorale, arguant qu’il ne souhaitait pas encourager des contrats avec des pays communistes ne respectant pas les principes du libre-échange, de la liberté et de la démocratie.
Des Relations Diplomatiques Complexes
Javier Milei, connu pour ses déclarations virulentes envers la Chine et le président Lula, qualifié entre autres de « communiste corrompu », a adopté une approche plus modérée en matière de relations diplomatiques depuis son élection. Il a cherché à établir des relations apaisées avec des partenaires commerciaux clés tels que le Brésil et la Chine, les deux principaux partenaires commerciaux de l’Argentine. Cependant, il a toujours maintenu que les États-Unis et Israël étaient ses alliés stratégiques naturels.
Un Processus de Changement en Cours
Le porte-parole de la présidence argentine a souligné que les lettres envoyées aux Brics reflètent un « processus de changement de politique étrangère qui justifie une analyse beaucoup plus approfondie que celle du gouvernement précédent ». Cette évolution suggère que l’Argentine sous la présidence de Javier Milei est déterminée à redéfinir ses priorités et à réévaluer ses alliances diplomatiques.
Un Nouveau Chapitre dans les Relations Internationales de l’Argentine
La décision de l’Argentine de ne pas rejoindre les Brics sous la présidence de Javier Milei marque un tournant significatif dans les relations internationales du pays. Alors que l’administration précédente avait cherché à renforcer ses liens avec d’autres économies émergentes, le nouveau président a clairement indiqué son intention de prendre une direction différente en matière de politique étrangère. Cette décision suscite des questions sur les futurs partenariats et alliances de l’Argentine sur la scène mondiale et ouvre un nouveau chapitre dans son rôle sur la scène internationale.
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