Le club fait appel à un huissier de justice

Faisant le forcing en procédant au boycott suite à la libération de son frère cadet, Youcef Belaïli a eu un comportement inadéquat qui incitera la direction à faire appel à un huissier de justice qui s’est présenté, hier matin au centre de Zéralda, pour constater l’abandon de poste du champion d’Afrique qui a brillé par son absence.

Le bras de fer reprend de plus belle entre le club et le joueur s’est mis à dos les supporters qui refusent toute forme de chantage.

La direction décide de résilier le bail de son frère

Malgré toutes les tentatives du clan Belaïli qui usera de tous les stratagèmes pour garder Farès exigeant un contrat professionnel pour le frère cadet de Youcef avec un salaire qui avoisine les 80 millions de centimes et malgré la pression exercée par la star algérienne, celui-ci n’aura pas le dernier mot. En effet, Patrice Amir Beaumelle a pris la décision de se défaire de Farès estimant qu’il n’a pas sa place dans l’effectif mouloudéen.

Youcef exerce une pression pour repêcher son frère

Apprenant la nouvelle, Youcef Belaïli est passé à l’action en exerçant une pression de tous les instants sur la direction. C’est ce qui explique l’absence du joueur lors de la séance d’entraînement effectuée avant-hier et hier à Zéralda. C’était une manière pour le numéro 10 mouloudéen de contester la décision de Beaumelle. Selon nos dernières informations, le champion d’Afrique est en train de jouer sa dernière carte dans le but de repêcher son frère cadet qui a été congédié hier par l’administration du club.

Il était pourtant avec le groupe lors de la reprise
Après avoir spéculé sur l’avenir de Youcef Belaïli, celui-ci était présent lors de la reprise des entraînements à Zéralda. La star algérienne a eu l’aval de Patrice Beaumelle pour réintégrer le groupe. Le joueur s’est donc entraîné le plus normalement du monde avec ses partenaires qui étaient tous ravis de le revoir avec le maillot vert et rouge, avant qu’il ne fasse des siennes en s’absentant pour les séances suivantes.

N. L.