A Khan Younès, des déplacés, «vivants en apparence», en quête de soins et d’eau
Alitée dans le calme relatif d’une chambre individuelle de l’hôpital Nasser récemment rouvert à Khan Younès, dans le sud de la bande de Ghaza, Alaa Abou Ahmed est rassurée. Elle va pouvoir reprendre son traitement chronique, interrompu par les déplacements auxquels l’a contrainte la guerre.
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