Formation en Chine, en Corée du Sud et aux Etats-Unis : Un tremplin pour les start-up algériennes

Quatre-vingt-dix représentants de start-up vont bénéficier d’une formation à l’international. Dans le cadre d’un programme gouvernemental visant à promouvoir l’innovation, ces entreprises seront envoyées en Chine, en Corée du Sud et aux Etats-Unis. L’objectif est de leur permettre de s’imprégner des écosystèmes entrepreneuriaux de ces pays, de renforcer leurs compétences et de développer des collaborations […] The post Formation en Chine, en Corée du Sud et aux Etats-Unis : Un tremplin pour les start-up algériennes appeared first on Le Jeune Indépendant.

Oct 19, 2024 - 03:35
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Formation en Chine, en Corée du Sud et aux Etats-Unis : Un tremplin pour les start-up algériennes

Quatre-vingt-dix représentants de start-up vont bénéficier d’une formation à l’international. Dans le cadre d’un programme gouvernemental visant à promouvoir l’innovation, ces entreprises seront envoyées en Chine, en Corée du Sud et aux Etats-Unis. L’objectif est de leur permettre de s’imprégner des écosystèmes entrepreneuriaux de ces pays, de renforcer leurs compétences et de développer des collaborations internationales, selon un communiqué du ministère de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Microentreprises.

 

Le ministère a organisé « une rencontre avec les entrepreneurs pour annoncer le lancement d’une nouvelle vague du programme de visites internationales des start-up en partance pour la Chine, la Corée du Sud et les Etats-Unis, et ce en application de l’engagement du président de la République », précise le communiqué.

 

Lors de la rencontre tenue au siège de l’entreprise Algeria Venture, le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Microentreprises, Yacine Oualid, a passé en revue les principaux objectifs du programme et les détails y afférents, soulignant que ces voyages « visent à permettre aux start-up algériennes d’acquérir des connaissances et des expertises auprès de grandes universités et d’entreprises technologiques ainsi que des plus grands centres technologiques mondiaux, renforçant ainsi leurs capacités créatives et contribuant à la promotion de l’entrepreneuriat en Algérie, notamment dans les domaines à haute valeur ajoutée ».

 Le ministre a précisé que « ces voyages visent à initier les participants aux secrets de la réussite des environnements entrepreneuriaux dans les pays leaders en technologie, ce qui leur permettra d’appliquer ces idées et innovations en Algérie et de devenir, à l’avenir, des leaders dans le domaine de l’entrepreneuriat et de la technologie ».

Ainsi, 90 start-up supplémentaires vont pouvoir participer à ce programme, qui vise à envoyer 450 sociétés dans les trois pays, selon le communiqué.

Au terme de la conférence, le ministre a exprimé ses remerciements pour les efforts de l’accélérateur public de start-up, Algeria Venture, et son soutien continu aux start-up algériennes, saluant les efforts du directeur général et des cadres de l’entreprise dans la promotion de l’innovation à l’intérieur du pays.

Soulignant que « plusieurs start-up ont bénéficié de cet accompagnement, qui leur permettra de se développer et d’être compétitif au niveau international », le ministre a rappelé que les inscriptions pour la participation au programme sont toujours ouvertes via le site électronique asep.dz.

Cet événement intervient, selon le communiqué, dans le cadre « de l’engagement du ministère à soutenir l’innovation et à renforcer les capacités compétitives des start-up algériennes, pour leur donner un écho international, et ce à travers des opportunités de formation et de développement dans les marchés internationaux les plus développés ».

Pour rappel, 60 start-up algériennes, menées par deux délégations, ont également entamé des visites en août dernier, en Chine et en Corée du Sud. 

Le ministère de tutelle avait précisé que, dans le cadre de cette initiative, les visites programmées englobent les Etats-Unis avec 150 start-up concernées, outre la Chine (150 start-up) et la Corée du Sud (150 start-up). Il avait également souligné que le programme serait organisé sous forme de petits groupes en vue de faciliter la coordination logistique. 

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