Ghaza: les forces sionistes détruisent le seul hôpital spécialisé dans le cancer
GHAZA - L'hôpital de l'amitié turco-palestinienne, le seul spécialisé dans le traitement du cancer à Ghaza, a été détruit par les forces sionistes, rapportent des médis. Le ministère turc des Affaires étrangères a exprimé son "profond mécontentement" face au ciblage par l'armée sioniste de l'hôpital et s'est engagé à "demander justice devant les tribunaux internationaux". Il a dénoncé les dommages causés à l'hôpital et son utilisation par l'occupation comme "base militaire dans le cadre de la politique systématique visant à anéantir le peuple palestinien". Dans un communiqué, le ministère turc a ajouté que "les images diffusées par les médias palestiniens, montrant la présence d'un groupe de soldats (sionistes) devant l'hôpital, sont une nouvelle preuve de la violation (par l'entité sioniste) du droit international et du droit international humanitaire". Le ministère a noté, par ailleurs, que l'hôpital de l'amitié turco-palestinienne est le seul centre fournissant des services médicaux aux patients atteints de cancer dans la bande de Ghaza. Cette attaque survient dans un contexte de graves conditions humanitaires dans la bande de Ghaza, déchirée par la guerre. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Ghaza a souligné la famine extrême, le manque de fournitures médicales et l'insécurité généralisée à laquelle est confrontée la population. L'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a également condamné la récente escalade de la violence, soulignant que les attaques de la semaine dernière à Ghaza ont été parmi "les plus sanglantes jamais perpétrées". Les forces sionistes ont mené plusieurs attaques meurtrières à Ghaza au cours des dernières 24 heures, notamment une frappe contre une maison à Nuseirat qui a fait 11 martyrs, dont cinq enfants. La guerre génocidaire sioniste à Ghaza, qui est à son 9ème mois, a fait 38.712 martyrs et au moins 89.166 blessés, selon le dernier bilan des autorités sanitaires palestiniennes.
GHAZA - L'hôpital de l'amitié turco-palestinienne, le seul spécialisé dans le traitement du cancer à Ghaza, a été détruit par les forces sionistes, rapportent des médis.
Le ministère turc des Affaires étrangères a exprimé son "profond mécontentement" face au ciblage par l'armée sioniste de l'hôpital et s'est engagé à "demander justice devant les tribunaux internationaux".
Il a dénoncé les dommages causés à l'hôpital et son utilisation par l'occupation comme "base militaire dans le cadre de la politique systématique visant à anéantir le peuple palestinien".
Dans un communiqué, le ministère turc a ajouté que "les images diffusées par les médias palestiniens, montrant la présence d'un groupe de soldats (sionistes) devant l'hôpital, sont une nouvelle preuve de la violation (par l'entité sioniste) du droit international et du droit international humanitaire".
Le ministère a noté, par ailleurs, que l'hôpital de l'amitié turco-palestinienne est le seul centre fournissant des services médicaux aux patients atteints de cancer dans la bande de Ghaza.
Cette attaque survient dans un contexte de graves conditions humanitaires dans la bande de Ghaza, déchirée par la guerre. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Ghaza a souligné la famine extrême, le manque de fournitures médicales et l'insécurité généralisée à laquelle est confrontée la population.
L'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a également condamné la récente escalade de la violence, soulignant que les attaques de la semaine dernière à Ghaza ont été parmi "les plus sanglantes jamais perpétrées".
Les forces sionistes ont mené plusieurs attaques meurtrières à Ghaza au cours des dernières 24 heures, notamment une frappe contre une maison à Nuseirat qui a fait 11 martyrs, dont cinq enfants.
La guerre génocidaire sioniste à Ghaza, qui est à son 9ème mois, a fait 38.712 martyrs et au moins 89.166 blessés, selon le dernier bilan des autorités sanitaires palestiniennes.
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