La société civile algérienne condamne les provocations de l'extrême droite française envers l'Algérie
ALGER - Plusieurs organisations et associations de la société civile algérienne ont condamné les provocations et l'acharnement de l'extrême droite française contre l'Algérie, appelant les forces vives à faire bloc pour défendre les intérêts supérieurs du pays. Face aux provocations de l'extrême droite française envers l'Algérie, les acteurs de la société civile ont publié des communiqués condamnant "avec fermeté" cette campagne acharnée et exprimant leur "rejet catégorique" des attaques "orchestrées" visant à salir l'Algérie et à la diaboliser sur la scène internationale. Pour ces organisations, la mentalité coloniale "reste prégnante dans certains milieux politiques français, qui exploitent le dossier algérien à des fins de propagande, notamment à l'approche des échéances électorales en France". Animées par leur devoir national, les organisations de la société civile algérienne ont appelé les forces vives parmi les associations, syndicats, partis politiques et intellectuels, à "se mobiliser" et à "faire bloc pour défendre les intérêts supérieurs du pays et contrer toute forme d'ingérence étrangère éhontée visant à déstabiliser le pays et à influencer ses décisions souveraines". Dans ce cadre, l'Organisation algérienne pour l'environnement et la citoyenneté a "vigoureusement" dénoncé les "restrictions arbitraires" et "la stigmatisation" auxquelles sont confrontés les citoyens algériens résidant en France, estimant que "ces violations flagrantes vont à l'encontre des principes fondamentaux des droits de l'Homme et enfreignent les accords bilatéraux conclus entre les deux pays". De son côté, Algerian Youth Foundation a insisté sur la nécessité de "soutenir la position diplomatique officielle exprimée par le ministère algérien des Affaires étrangères", estimant que la consolidation du front intérieur et le raffermissement de l'unité nationale "constituent la réponse la plus forte à ces défis". L'association nationale Amel El Hayet pour la protection des enfants atteints d'IMC a, elle aussi, condamné "les propos belliqueux de certains milieux politiques français", affirmant que de telles attitudes "vont à l'encontre des valeurs humaines et des principes censés régir les relations internationales". Pour sa part, l'Académie de la jeunesse algérienne a exprimé sa "profonde inquiétude" face à "la dangereuse escalade" à laquelle se livre la France, sous l'influence de l'extrême droite, contre les membres de la communauté algérienne. Dénonçant les provocations du ministre français de l'Intérieur, l'Académie a affirmé que cette attitude est "révélatrice d'une crise morale et politique dans le paysage français". L'association Info-com de Guelma a, elle aussi, dénoncé ces politiques hostiles, soulignant qu'elles "doivent cesser immédiatement". La poursuite de ces manœuvres "ne fera qu'aggraver la crise entre les deux pays", a-t-elle averti. La Coordination nationale de la société civile de la wilaya de Touggourt et l'Union nationale de la société civile ont exprimé, à leur tour, leur "rejet de toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures de l'Algérie", soutenant que la défense de la souveraineté nationale était "une responsabilité collective exigeant une position unifiée pour contrer ces menaces". Par ailleurs, les acteurs de la société civile algérienne, toutes instances confondues, ont insisté sur la "nécessité de contrer ces politiques hostiles avec fermeté et responsabilité, à travers le renforcement de l'unité nationale et l'ancrage de la conscience collective pour protéger les intérêts supérieurs de la nation". "L'Algérie ne cèdera à aucune provocation", ont-ils assuré, soulignant que l'attachement du peuple algérien à son unité demeurait "le garant" de la protection de la souveraineté du pays et du renforcement de sa position aux niveaux régional et international.


ALGER - Plusieurs organisations et associations de la société civile algérienne ont condamné les provocations et l'acharnement de l'extrême droite française contre l'Algérie, appelant les forces vives à faire bloc pour défendre les intérêts supérieurs du pays.
Face aux provocations de l'extrême droite française envers l'Algérie, les acteurs de la société civile ont publié des communiqués condamnant "avec fermeté" cette campagne acharnée et exprimant leur "rejet catégorique" des attaques "orchestrées" visant à salir l'Algérie et à la diaboliser sur la scène internationale.
Pour ces organisations, la mentalité coloniale "reste prégnante dans certains milieux politiques français, qui exploitent le dossier algérien à des fins de propagande, notamment à l'approche des échéances électorales en France".
Animées par leur devoir national, les organisations de la société civile algérienne ont appelé les forces vives parmi les associations, syndicats, partis politiques et intellectuels, à "se mobiliser" et à "faire bloc pour défendre les intérêts supérieurs du pays et contrer toute forme d'ingérence étrangère éhontée visant à déstabiliser le pays et à influencer ses décisions souveraines".
Dans ce cadre, l'Organisation algérienne pour l'environnement et la citoyenneté a "vigoureusement" dénoncé les "restrictions arbitraires" et "la stigmatisation" auxquelles sont confrontés les citoyens algériens résidant en France, estimant que "ces violations flagrantes vont à l'encontre des principes fondamentaux des droits de l'Homme et enfreignent les accords bilatéraux conclus entre les deux pays".
De son côté, Algerian Youth Foundation a insisté sur la nécessité de "soutenir la position diplomatique officielle exprimée par le ministère algérien des Affaires étrangères", estimant que la consolidation du front intérieur et le raffermissement de l'unité nationale "constituent la réponse la plus forte à ces défis".
L'association nationale Amel El Hayet pour la protection des enfants atteints d'IMC a, elle aussi, condamné "les propos belliqueux de certains milieux politiques français", affirmant que de telles attitudes "vont à l'encontre des valeurs humaines et des principes censés régir les relations internationales".
Pour sa part, l'Académie de la jeunesse algérienne a exprimé sa "profonde inquiétude" face à "la dangereuse escalade" à laquelle se livre la France, sous l'influence de l'extrême droite, contre les membres de la communauté algérienne.
Dénonçant les provocations du ministre français de l'Intérieur, l'Académie a affirmé que cette attitude est "révélatrice d'une crise morale et politique dans le paysage français".
L'association Info-com de Guelma a, elle aussi, dénoncé ces politiques hostiles, soulignant qu'elles "doivent cesser immédiatement". La poursuite de ces manœuvres "ne fera qu'aggraver la crise entre les deux pays", a-t-elle averti.
La Coordination nationale de la société civile de la wilaya de Touggourt et l'Union nationale de la société civile ont exprimé, à leur tour, leur "rejet de toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures de l'Algérie", soutenant que la défense de la souveraineté nationale était "une responsabilité collective exigeant une position unifiée pour contrer ces menaces".
Par ailleurs, les acteurs de la société civile algérienne, toutes instances confondues, ont insisté sur la "nécessité de contrer ces politiques hostiles avec fermeté et responsabilité, à travers le renforcement de l'unité nationale et l'ancrage de la conscience collective pour protéger les intérêts supérieurs de la nation".
"L'Algérie ne cèdera à aucune provocation", ont-ils assuré, soulignant que l'attachement du peuple algérien à son unité demeurait "le garant" de la protection de la souveraineté du pays et du renforcement de sa position aux niveaux régional et international.