L'apport des start-up à l'industrie pharmaceutique évoqué lors d'une réunion de travail entre MM. Kouidri et Ouadah
ALGER- Le ministre de l'Industrie pharmaceutique, Ouacim Kouidri, a coprésidé, lundi, avec le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, une réunion de travail consacrée à la présentation de projets de start-up et de porteurs de projets innovants proposant des solutions technologiques et des idées novatrices en faveur de l'industrie pharmaceutique, indique un communiqué du ministère de l'Industrie pharmaceutique. Lors de cette rencontre, M. Kouidri a mis en avant "la dynamique que connaît le secteur dans ses efforts visant à garantir la sécurité sanitaire et à réguler l'importation", soulignant "l'impératif d'associer les start-up et les micro-entreprises, en leur offrant la possibilité de contribuer à cette dynamique et en les intégrant dans l'économie nationale, conformément aux instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune". Saluant le développement significatif des start-up en Algérie, le ministre a encouragé ces dernières à "contribuer au développement des intrants pharmaceutiques permettant la production de matières premières à même de promouvoir la production locale et de réduire la facture des importations". De son côté, M. Ouadah a souligné "l'importance d'établir des ponts de communication entre les entreprises pharmaceutiques et les jeunes porteurs de projets afin d'identifier les besoins et de proposer rapidement des solutions technologiques". Rappelant que "la création d'une start-up se fait en un temps record, tant en matière d'enregistrement que de financement", il a appelé les industriels à "se rapprocher des start-up pour les orienter en fonction de leurs besoins", selon le communiqué. Après avoir rappelé que son secteur comptait atteindre 20.000 start-up d'ici 2029, M. Ouadah a mis en relief, dans une déclaration, "la complémentarité" entre les deux départements ministériels qui permet aux start-up et aux micro-entreprises de contribuer à la production des intrants et des matières premières nécessaires au secteur de l'industrie pharmaceutique, et ce, dans le cadre de la promotion de l'innovation et de la numérisation. De leur côté, les porteurs de projets et les propriétaires de start-up ont présenté un ensemble de solutions technologiques et numériques qui ont vocation à soutenir l'activité de l'industrie pharmaceutique, tant en termes de gestion que de production. Entre autres propositions présentées par les entreprises participantes, figure un système d'information reliant les entreprises industrielles aux différents centres décisionnels dans le secteur de l'industrie pharmaceutique, lequel permet un suivi efficace des chaînes de production, de distribution et de gestion, ainsi que des solutions numériques dans le domaine du diagnostic médical et de la culture cellulaire intelligente.


ALGER- Le ministre de l'Industrie pharmaceutique, Ouacim Kouidri, a coprésidé, lundi, avec le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, une réunion de travail consacrée à la présentation de projets de start-up et de porteurs de projets innovants proposant des solutions technologiques et des idées novatrices en faveur de l'industrie pharmaceutique, indique un communiqué du ministère de l'Industrie pharmaceutique.
Lors de cette rencontre, M. Kouidri a mis en avant "la dynamique que connaît le secteur dans ses efforts visant à garantir la sécurité sanitaire et à réguler l'importation", soulignant "l'impératif d'associer les start-up et les micro-entreprises, en leur offrant la possibilité de contribuer à cette dynamique et en les intégrant dans l'économie nationale, conformément aux instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune".
Saluant le développement significatif des start-up en Algérie, le ministre a encouragé ces dernières à "contribuer au développement des intrants pharmaceutiques permettant la production de matières premières à même de promouvoir la production locale et de réduire la facture des importations".
De son côté, M. Ouadah a souligné "l'importance d'établir des ponts de communication entre les entreprises pharmaceutiques et les jeunes porteurs de projets afin d'identifier les besoins et de proposer rapidement des solutions technologiques".
Rappelant que "la création d'une start-up se fait en un temps record, tant en matière d'enregistrement que de financement", il a appelé les industriels à "se rapprocher des start-up pour les orienter en fonction de leurs besoins", selon le communiqué.
Après avoir rappelé que son secteur comptait atteindre 20.000 start-up d'ici 2029, M. Ouadah a mis en relief, dans une déclaration, "la complémentarité" entre les deux départements ministériels qui permet aux start-up et aux micro-entreprises de contribuer à la production des intrants et des matières premières nécessaires au secteur de l'industrie pharmaceutique, et ce, dans le cadre de la promotion de l'innovation et de la numérisation.
De leur côté, les porteurs de projets et les propriétaires de start-up ont présenté un ensemble de solutions technologiques et numériques qui ont vocation à soutenir l'activité de l'industrie pharmaceutique, tant en termes de gestion que de production.
Entre autres propositions présentées par les entreprises participantes, figure un système d'information reliant les entreprises industrielles aux différents centres décisionnels dans le secteur de l'industrie pharmaceutique, lequel permet un suivi efficace des chaînes de production, de distribution et de gestion, ainsi que des solutions numériques dans le domaine du diagnostic médical et de la culture cellulaire
intelligente.