Liban: le CICR appelle à protéger le personnel médical
BEYROUTH (Liban)- Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a appelé lundi à la protection du système de santé au Liban après des informations faisant état de frappes sionistes ayant touché du personnel médical lors des agressions sionistes contre le peuple libanais. "Je lance un appel urgent pour la protection des travailleurs de la santé, des ambulances, des hôpitaux et des centres de santé primaires", a déclaré Nicolas von Arx, directeur régional du CICR pour le Proche et Moyen-Orient. "Les attaques contre les établissements de santé sont extrêmement préoccupantes", a-t-il ajouté. Ces (agressions) signifient "un hôpital qui ne fonctionne plus. Cela signifie des dizaines de milliers de personnes qui ne peuvent plus recevoir de soins médicaux, qui ne peuvent pas accoucher en toute sécurité, qui ne peuvent pas soigner leurs blessures", a-t-il expliqué. Au moins 1.315 libanais sont tombés en martyr à travers le pays depuis le 23 septembre, un chiffre qui pourrait en réalité être plus élevé, car les informations restent parcellaires. Sur les 207 centres de soins primaires dans les zones agressées par l'entité sioniste au Liban, 100 ont fermé en raison de l'escalade de la violence, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Cinq hôpitaux ont cessé de fonctionner "en raison de dommages structurels causés par les attaques", tandis que les attaques contre les travailleurs et les établissements de santé au Liban ont causé près de 100 décès en un an. "Nous sommes extrêmement préoccupés par les déplacements de population, par le fonctionnement des systèmes de santé et par la souffrance continue au Liban", a déclaré M. von Arx.
BEYROUTH (Liban)- Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a appelé lundi à la protection du système de santé au Liban après des informations faisant état de frappes sionistes ayant touché du personnel médical lors des agressions sionistes contre le peuple libanais.
"Je lance un appel urgent pour la protection des travailleurs de la santé, des ambulances, des hôpitaux et des centres de santé primaires", a déclaré Nicolas von Arx, directeur régional du CICR pour le Proche et Moyen-Orient. "Les attaques contre les établissements de santé sont extrêmement préoccupantes", a-t-il ajouté.
Ces (agressions) signifient "un hôpital qui ne fonctionne plus. Cela signifie des dizaines de milliers de personnes qui ne peuvent plus recevoir de soins médicaux, qui ne peuvent pas accoucher en toute sécurité, qui ne peuvent pas soigner leurs blessures", a-t-il expliqué.
Au moins 1.315 libanais sont tombés en martyr à travers le pays depuis le 23 septembre, un chiffre qui pourrait en réalité être plus élevé, car les informations restent parcellaires.
Sur les 207 centres de soins primaires dans les zones agressées par l'entité sioniste au Liban, 100 ont fermé en raison de l'escalade de la violence, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Cinq hôpitaux ont cessé de fonctionner "en raison de dommages structurels causés par les attaques", tandis que les attaques contre les travailleurs et les établissements de santé au Liban ont causé près de 100 décès en un an.
"Nous sommes extrêmement préoccupés par les déplacements de population, par le fonctionnement des systèmes de santé et par la souffrance continue au Liban", a déclaré M. von Arx.
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