ONU: vote mercredi sur un projet de résolution appelant à mettre fin à l'occupation sioniste des territoires palestiniens
NEW YORK - L'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) votera mercredi sur un projet de résolution soumis par l'Etat de Palestine, appelant l'entité sioniste à mettre fin à sa "présence illégale dans le territoire palestinien occupé" dans les 12 mois. L'AGNU a repris mardi la 10e session extraordinaire d'urgence au siège de l'ONU à New York, intitulée : Un avis consultatif de la Cour internationale de Justice (CIJ) sur les conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques de l'entité sioniste en le territoire palestinien occupé, y compris El-Qods-Est, et l'illégalité du maintien de la présence sioniste dans le territoire palestinien occupé. Le Représentant permanent de la Palestine auprès des Nations Unies, l'Ambassadeur Riyadh Mansour, cité par l'agence palestinienne de presse, Wafa, a indiqué que le projet de résolution reflète l'avis consultatif de la CIJ, rendu en juillet dernier à la demande de l'Assemblée générale, concernant l'illégalité de la présence sioniste dans les territoires palestiniens occupés. Il a ajouté que le projet de résolution était parrainé par 40 pays et était basé sur le droit international, soulignant la nécessité de respecter l'Etat de droit et les droits du peuple palestinien à accéder à la justice. M . Mansour a expliqué que ce projet de résolution reflète dans son préambule les décisions prises par la CIJ, en mettant l'accent dans ses paragraphes exécutifs sur les obligations de l'entité sioniste et de tous les pays, des Nations Unies et d'autres organisations internationales conformément au droit international. Le projet de résolution appelle aussi à prendre un certain nombre de mesures individuelles et collectives pour soutenir la loi et mettre en œuvre les résolutions pertinentes des Nations Unies sur la question palestinienne. "Aujourd’hui, le monde doit rejeter les deux poids, deux mesures et se placer du bon côté de l’histoire avec le droit international, la liberté et la paix", a-t-il déclaré. Lors de sa participation à cette réunion de l'Assemblée Générale de l'ONU sur la Palestine, le représentant permanent de l'Algérie auprès des Nations unies, l'ambassadeur Amar Bendjama, a appelé à appuyer le projet de résolution "historique" présenté par l'Etat de Palestine à l'Assemblée générale (AG) pour mettre fin à l'occupation et permettre au peuple palestinien de jouir de l'ensemble de ses droits. L'ambassadeur Bendjama a souligné l'impératif de veiller à "la pleine" application de l'avis consultatif de la CIJ, appelant l'ensemble des pays membres à appuyer le projet de résolution historique présenté par l'Etat de Palestine à l'AG de l'ONU, lequel définit une feuille de route "claire" visant à mettre fin à l'occupation et permettre au peuple palestinien de jouir de l'ensemble de ses droits. La tenue de la session extraordinaire des Nations Unies pour voter sur le projet de résolution palestinien intervient quelques jours avant l'arrivée de dizaines de chefs d'Etat et de gouvernement à New York, pour participer à l'ouverture de la session annuelle de l'Assemblée générale.
NEW YORK - L'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) votera mercredi sur un projet de résolution soumis par l'Etat de Palestine, appelant l'entité sioniste à mettre fin à sa "présence illégale dans le territoire palestinien occupé" dans les 12 mois.
L'AGNU a repris mardi la 10e session extraordinaire d'urgence au siège de l'ONU à New York, intitulée : Un avis consultatif de la Cour internationale de Justice (CIJ) sur les conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques de l'entité sioniste en le territoire palestinien occupé, y compris El-Qods-Est, et l'illégalité du maintien de la présence sioniste dans le territoire palestinien occupé.
Le Représentant permanent de la Palestine auprès des Nations Unies, l'Ambassadeur Riyadh Mansour, cité par l'agence palestinienne de presse, Wafa, a indiqué que le projet de résolution reflète l'avis consultatif de la CIJ, rendu en juillet dernier à la demande de l'Assemblée générale, concernant l'illégalité de la présence sioniste dans les territoires palestiniens occupés.
Il a ajouté que le projet de résolution était parrainé par 40 pays et était basé sur le droit international, soulignant la nécessité de respecter l'Etat de droit et les droits du peuple palestinien à accéder à la justice.
M . Mansour a expliqué que ce projet de résolution reflète dans son préambule les décisions prises par la CIJ, en mettant l'accent dans ses paragraphes exécutifs sur les obligations de l'entité sioniste et de tous les pays, des Nations Unies et d'autres organisations internationales conformément au droit international.
Le projet de résolution appelle aussi à prendre un certain nombre de mesures individuelles et collectives pour soutenir la loi et mettre en œuvre les résolutions pertinentes des Nations Unies sur la question palestinienne.
"Aujourd’hui, le monde doit rejeter les deux poids, deux mesures et se placer du bon côté de l’histoire avec le droit international, la liberté et la paix", a-t-il déclaré.
Lors de sa participation à cette réunion de l'Assemblée Générale de l'ONU sur la Palestine, le représentant permanent de l'Algérie auprès des Nations unies, l'ambassadeur Amar Bendjama, a appelé à appuyer le projet de résolution "historique" présenté par l'Etat de Palestine à l'Assemblée générale (AG) pour mettre fin à l'occupation et permettre au peuple palestinien de jouir de l'ensemble de ses droits.
L'ambassadeur Bendjama a souligné l'impératif de veiller à "la pleine" application de l'avis consultatif de la CIJ, appelant l'ensemble des pays membres à appuyer le projet de résolution historique présenté par l'Etat de Palestine à l'AG de l'ONU, lequel définit une feuille de route "claire" visant à mettre fin à l'occupation et permettre au peuple palestinien de jouir de l'ensemble de ses droits.
La tenue de la session extraordinaire des Nations Unies pour voter sur le projet de résolution palestinien intervient quelques jours avant l'arrivée de dizaines de chefs d'Etat et de gouvernement à New York, pour participer à l'ouverture de la session annuelle de l'Assemblée générale.
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