Ophtalmologie: la sensibilisation au dépistage des pathologies oculaires soulignée
ALGER - L'importance de la sensibilisation au dépistage des maladies oculaires, telles que la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et l'œdème maculaire diabétique (OMD), a été soulignée, mardi à Alger, par des spécialistes. Ainsi, les Professeurs Soraya Mouaki Benani et Mustapha Djabour, du service d'Ophtalmologie du CHU "Mustapha Bacha", ont mis l'accent sur l'impératif de la sensibilisation au dépistage de ces deux maladies, parmi les plus fréquentes affectant l'œil et ce, "dès l'apparition des premiers symptômes", pour éviter les complications causant la cécité. Intervenant lors d'une session de formation destinée aux journalistes, sur les caractéristiques de la DMLA, Pr Mouaki a mis en garde contre les facteurs de risques évitables, à l'instar du tabagisme, l'obésité, la mauvaise hygiène de vie, etc. Notant que d'autres facteurs inéluctables comme l'âge et la génétique sont à l'origine de cette maladie, elle a recommandé de suivre des mesures hygieno-diététiques comme une alimentation riche en antioxydants, en oméga 3, le port de lunettes solaires adaptées, l'éloignement des écrans bleus, etc. Précisant que cette affection est "sévère et invalidante", elle a indiqué que le traitement par injections (anti UEGF), disponible depuis 2007 en Algérie, "ne guérit pas, mais permet d'éviter la cécité" et qu'en dépit de son coût élevé, il est administré "en milieu hospitalier à tous les patients". De son côté, Pr Djabour a relevé l'impact sociétal et le coût économique de la prise en charge des OMD, ces déficiences visuelles entraînant notamment "une dépendance vis-à-vis d'autrui, une baisse de la productivité au travail et un mal-être mental". En guise de prévention, il a conseillé d'effectuer "régulièrement des examens ophtalmologiques", tout en "rééquilibrant le diabète", assurant que "les pouvoirs publics ont mis à la disposition des malades les traitements modernes" préconisés pour cette pathologie. Il a fait également part à cet égard, de "la disponibilité des moyens de diagnostic et de la qualité de la formation continue".
ALGER - L'importance de la sensibilisation au dépistage des maladies oculaires, telles que la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et l'œdème maculaire diabétique (OMD), a été soulignée, mardi à Alger, par des spécialistes.
Ainsi, les Professeurs Soraya Mouaki Benani et Mustapha Djabour, du service d'Ophtalmologie du CHU "Mustapha Bacha", ont mis l'accent sur l'impératif de la sensibilisation au dépistage de ces deux maladies, parmi les plus fréquentes affectant l'œil et ce, "dès l'apparition des premiers symptômes", pour éviter les complications causant la cécité.
Intervenant lors d'une session de formation destinée aux journalistes, sur les caractéristiques de la DMLA, Pr Mouaki a mis en garde contre les facteurs de risques évitables, à l'instar du tabagisme, l'obésité, la mauvaise hygiène de vie, etc.
Notant que d'autres facteurs inéluctables comme l'âge et la génétique sont à l'origine de cette maladie, elle a recommandé de suivre des mesures hygieno-diététiques comme une alimentation riche en antioxydants, en oméga 3, le port de lunettes solaires adaptées, l'éloignement des écrans bleus, etc.
Précisant que cette affection est "sévère et invalidante", elle a indiqué que le traitement par injections (anti UEGF), disponible depuis 2007 en Algérie, "ne guérit pas, mais permet d'éviter la cécité" et qu'en dépit de son coût élevé, il est administré "en milieu hospitalier à tous les patients".
De son côté, Pr Djabour a relevé l'impact sociétal et le coût économique de la prise en charge des OMD, ces déficiences visuelles entraînant notamment "une dépendance vis-à-vis d'autrui, une baisse de la productivité au travail et un mal-être mental".
En guise de prévention, il a conseillé d'effectuer "régulièrement des examens ophtalmologiques", tout en "rééquilibrant le diabète", assurant que "les pouvoirs publics ont mis à la disposition des malades les traitements modernes" préconisés pour cette pathologie.
Il a fait également part à cet égard, de "la disponibilité des moyens de diagnostic et de la qualité de la formation continue".
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