Proche-Orient: le SG de l'ONU fustige une escalade "écœurant"
NEW YORK (Nations unies)- Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres a fustigé mercredi devant le Conseil de sécurité "le cycle écœurant" de violences dans un Proche-Orient au bord du "précipice". Devant les 15 Etats membres du Conseil réunis en urgence, M. Guterres qui n'a eu de cesse, lors de l'Assemblée générale la semaine dernière, de tirer la sonnette d'alarme sur le risque de "guerre totale" au Proche-Orient, a exigé de "mettre fin au cycle écœurant d'escalade après escalade qui conduit les peuples du Moyen-Orient directement au bord du précipice". "Chaque escalade sert de prétexte à la suivante" et "nous ne devons jamais perdre de vue l'énorme bilan du conflit sur les civils", a-t-il déploré, après des dizaines de milliers de morts et blessés depuis un an. Antonio Guterres a encore réclamé la fin du "cycle meurtrier de la violence ... œil pour œil, dent pour dent", s'attirant le soutien de la plupart des membres du Conseil de sécurité, l'organe-phare de l'ONU mais divisé depuis une décennie entre les cinq grandes puissances : Etats-Unis, France et Royaume-Uni d'un côté, Russie et Chine de l'autre.
NEW YORK (Nations unies)- Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres a fustigé mercredi devant le Conseil de sécurité "le cycle écœurant" de violences dans un Proche-Orient au bord du "précipice".
Devant les 15 Etats membres du Conseil réunis en urgence, M. Guterres qui n'a eu de cesse, lors de l'Assemblée générale la semaine dernière, de tirer la sonnette d'alarme sur le risque de "guerre totale" au Proche-Orient, a exigé de "mettre fin au cycle écœurant d'escalade après escalade qui conduit les peuples du Moyen-Orient directement au bord du précipice".
"Chaque escalade sert de prétexte à la suivante" et "nous ne devons jamais perdre de vue l'énorme bilan du conflit sur les civils", a-t-il déploré, après des dizaines de milliers de morts et blessés depuis un an.
Antonio Guterres a encore réclamé la fin du "cycle meurtrier de la violence ... œil pour œil, dent pour dent", s'attirant le soutien de la plupart des membres du Conseil de sécurité, l'organe-phare de l'ONU mais divisé depuis une décennie entre les cinq grandes puissances : Etats-Unis, France et Royaume-Uni d'un côté, Russie et Chine de l'autre.
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