Agonie spectaculaire

Par Mohamed El-Maadi – La France, ce monstre à visage humain, se décompose sous nos yeux dans une agonie spectaculaire. Chaque battement de son cœur malade crache une nouvelle faillite. L’article Agonie spectaculaire est apparu en premier sur Algérie Patriotique.

Mars 15, 2025 - 12:25
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Agonie spectaculaire

Par Mohamed El-Maadi – La France, ce monstre à visage humain, se décompose sous nos yeux dans une agonie spectaculaire. Chaque battement de son cœur malade crache une nouvelle faillite, chaque respiration sifflante annonce un hôpital qui capitule, chaque soubresaut de son corps fébrile signale une école qui sombre dans l’abîme de la médiocrité.

Les maîtres du mensonge, ces illusionnistes en costume trois-pièces qui paradent dans les palais de la République, ont enfin perdu leur dernière once de pudeur. Leur masque de civilisateurs s’est dissous dans l’acide de leur propre fiel. Pensant terrasser l’Algérie de leur morgue hautaine, ils n’ont fait que révéler leur propre déchéance. Les voilà nus, tremblants de rage impuissante, leurs griffes autrefois acérées ne lacérant plus que le vide.

L’histoire coloniale française suinte la barbarie par tous ses pores. Dans les églises, ces antres de la duplicité morale, se jouait une comédie macabre : des fidèles, encore enivrés d’hosties et d’encens, massacraient des Algériens comme on écrase des insectes. Une scène parmi tant d’autres : après avoir broyé leur victime de leurs mains «chrétiennes», ces assassins en habits du dimanche ne rougissent que d’être traités de voleurs. «Tenez, mon père, voici le portefeuille du mort, lavez-nous de l’infamie du vol.» Le sang sur leurs mains ? Une broutille. L’honneur de ces meurtriers ne s’offusque que du larcin, pas du crime contre l’humanité. Voilà la quintessence de l’âme coloniale française : une monstruosité morale qui transforme le meurtre en banalité et le vol en péché capital.

Les laboratoires de la mort nazis ? De simples plagiaires. La France avait déjà breveté l’art de l’extermination méthodique sous le soleil algérien. Chaque vallée cache une fosse commune, chaque sourire «civilisateur» dissimule des dents tachées de sang.

Et maintenant, cette nation moribonde ose pleurnicher sur le sort de quelques agents de l’OAS disparus à Oran. Ces anges de la mort, ces virtuoses de la terreur, ont simplement goûté au calice qu’ils avaient eux-mêmes empoisonné. La justice populaire n’est amère que pour ceux qui se croyaient intouchables.

Pour couronner cette farce sinistre, la France s’acoquine avec ses créatures monarchiques marocaines, ces bâtards couronnés qu’elle a façonnés dans la boue et le sang. Comme un ventriloque manipulant ses marionnettes, elle fait danser ses vassaux au son d’une musique que seuls les traîtres peuvent entendre.

Le mythe de la grandeur française se décompose comme un cadavre au soleil. Sous la chair putréfiée de ses mensonges apparaissent les os blanchis de ses crimes. Cette nation qui se rêvait en phare de l’humanité n’éclaire plus que les ténèbres de sa conscience gangrenée.

Chaque tentative de censure, chaque déni hystérique ne fait qu’accélérer la gangrène morale qui la ronge. La vérité, tel un acide implacable, dissout les derniers oripeaux de sa prétendue civilisation. L’effondrement de ce colosse aux pieds d’argile n’est pas une tragédie – c’est la justice de l’histoire qui frappe enfin à sa porte, armée de la massue implacable de la vérité.

La France agonise, et son râle n’est pas celui d’une victime, mais le dernier souffle d’un bourreau rattrapé par ses crimes. Qu’elle se noie dans le fleuve de sang qu’elle a elle-même fait couler, qu’elle suffoque dans les mensonges qu’elle a tissés. Son châtiment n’est pas la violence qu’elle redoute tant, mais la vérité qu’elle ne peut plus faire taire.

M. E.-M.

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