Agression sioniste contre le Liban: la situation humanitaire se détériore à un rythme alarmant, prévient l'OCHA
BEYROUTH- Un an après l'escalade de l'agression sioniste au sud du Liban, la situation humanitaire s'y détériore à un rythme alarmant, a indiqué le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA). Dans sa dernière mise à jour publiée mercredi, le bureau a rapporté que les frappes aériennes sionistes "se sont non seulement intensifiées, mais se sont également étendues à des zones auparavant épargnées et ont de plus en plus ciblé des infrastructures civiles vitales au Liban", ajoutant que "les bombardements en cours augmentent les souffrances de la population vulnérable". Il a expliqué qu'"en une journée, le 6 octobre, plus de 30 frappes aériennes ont touché la banlieue sud de Beyrouth et ses environs, obligeant davantage d'habitants à fuir les zones densément peuplées, notamment le camp de réfugiés palestiniens de Chatila". Le bureau a souligné "une augmentation du nombre de déplacements, alors que 180 700 personnes ont trouvé refuge dans 978 centres, dont 775 sont déjà pleins, soit 80% des refuges disponibles".
BEYROUTH- Un an après l'escalade de l'agression sioniste au sud du Liban, la situation humanitaire s'y détériore à un rythme alarmant, a indiqué le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA).
Dans sa dernière mise à jour publiée mercredi, le bureau a rapporté que les frappes aériennes sionistes "se sont non seulement intensifiées, mais se sont également étendues à des zones auparavant épargnées et ont de plus en plus ciblé des infrastructures civiles vitales au Liban", ajoutant que "les bombardements en cours augmentent les souffrances de la population vulnérable".
Il a expliqué qu'"en une journée, le 6 octobre, plus de 30 frappes aériennes ont touché la banlieue sud de Beyrouth et ses environs, obligeant davantage d'habitants à fuir les zones densément peuplées, notamment le camp de réfugiés palestiniens de Chatila".
Le bureau a souligné "une augmentation du nombre de déplacements, alors que 180 700 personnes ont trouvé refuge dans 978 centres, dont 775 sont déjà pleins, soit 80% des refuges disponibles".
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