Aux États-Unis… : Les adeptes du télétravail ne veulent pas revenir en arrière
«Personne ne grandit en rêvant d’être un jour enchaîné à un bureau dans une entreprise», lance Curtis Sparrer, un pionnier du télétravail, qui rejette un par un tous les arguments des grandes sociétés américaines déterminées à faire revenir leurs employés cinq jours par semaine.
«Personne ne grandit en rêvant d’être un jour enchaîné à un bureau dans une entreprise», lance Curtis Sparrer, un pionnier du télétravail, qui rejette un par un tous les arguments des grandes sociétés américaines déterminées à faire revenir leurs employés cinq jours par semaine.