Les expulsions forcées de civils à Ghaza sont devenues un "phénomène quotidien"
GHAZA - L'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a affirmé que les ordres d'expulsion forcée émis par l'armée d'occupation sioniste sont devenus un phénomène quotidien pour les habitants de la bande de Ghaza, qui sont contraints de partir pour sauver leur vie. "Les familles sont contraintes de se déplacer encore et encore, sachant que la sécurité n'existe nulle part dans la bande de Ghaza ", a écrit l'UNRWA dans un message posté sur le réseau social X. L'agence des Nations unies a, en outre, renouvelé son appel à un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Ghaza, proie à l'agression sioniste depuis près de dix mois. Vendredi dernier, l'UNRWA avait déclaré que neuf personnes sur dix ont été déplacées de force dans la bande de Ghaza, alertant sur l'apparition de plusieurs épidémies parmi les déplacés. "Les familles de Ghaza cherchent refuge là où elles le peuvent. Elles dépérissent dans des écoles surpeuplées, dans des bâtiments détruits ou des tentes de fortune sur le sable ou au milieu de tas d’ordures", avait déploré le commissaire général de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, dans un message posté sur le réseau social X.
GHAZA - L'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a affirmé que les ordres d'expulsion forcée émis par l'armée d'occupation sioniste sont devenus un phénomène quotidien pour les habitants de la bande de Ghaza, qui sont contraints de partir pour sauver leur vie.
"Les familles sont contraintes de se déplacer encore et encore, sachant que la sécurité n'existe nulle part dans la bande de Ghaza ", a écrit l'UNRWA dans un message posté sur le réseau social X.
L'agence des Nations unies a, en outre, renouvelé son appel à un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Ghaza, proie à l'agression sioniste depuis près de dix mois.
Vendredi dernier, l'UNRWA avait déclaré que neuf personnes sur dix ont été déplacées de force dans la bande de Ghaza, alertant sur l'apparition de plusieurs épidémies parmi les déplacés.
"Les familles de Ghaza cherchent refuge là où elles le peuvent. Elles dépérissent dans des écoles surpeuplées, dans des bâtiments détruits ou des tentes de fortune sur le sable ou au milieu de tas d’ordures", avait déploré le commissaire général de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, dans un message posté sur le réseau social X.
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