ONU/Quatrième Commission: le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination est inaliénable et imprescriptible
NEW YORK (ONU)- Le député parlementaire, Hichem Benhaddad, a affirmé, lors des travaux de la Quatrième Commission onusienne, tenus au siège de l'ONU à New York, que le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination était inaliénable et imprescriptible. Lors de ses réquisitions, le député a évoqué les résolutions, les recommandations et les avis consultatifs des instances onusiennes, depuis plus de cinq décennies, consacrant juridiquement le droit inaliénable et imprescriptible du peuple sahraoui à l'autodétermination. Le même intervenant a passé en revue la situation déplorable que vit le peuple sahraoui en raison de l'occupant marocain qui exerce toute forme de répression et de torture ainsi que le pillage de ses richesses et de ses ressources au vu et au su de la communauté internationale. Il a dénoncé la situation dans laquelle se trouve actuellement le peuple sahraoui après avoir lutté pour arracher sa liberté et son indépendance de l'occupant espagnol dans les années soixante, "pour se retrouver face à un occupant marocain prétendant une pseudo-souveraineté sur les territoires d'un Etat à part entière". Le député a également condamné les tentatives de l'occupant marocain d'éluder les positions et les résolutions onusiennes ainsi que de la communauté internationale sur la question du Sahara occidental, en cherchant ouvertement à dépeindre une réalité dépourvue de tout fondement juridique, politique, social, voire même culturel, affirmant que le "droit international garantit au peuple sahraoui son droit à l'autodétermination". Le député a affirmé que "les positions des personnes éprises de liberté, à travers le monde ne s'achètent pas par les revenus du crime organisé, de la traite humaine, de la drogue, du vol et du pillage des richesses des peuples, mais se puisent dans les positions constantes fondées sur les décisions et recommandations des différents organes de l'ONU. Il a dénoncé, dans ce contexte, les positions de certains pays qui n'ont pas encore rompu avec leur passé colonial en accordant ce qu'il a appelé "instrument de reconnaissance internationale fictive, à tous ceux qui partagent leurs orientations, affirmant que la reconnaissance de certains d'entre eux de la souveraineté fictive du Maroc sur les territoires du Sahara Occidental et son peuple relève de cette catégorie". Rappelant que "la question du Sahara occidental est inscrite à l'ONU comme une question de décolonisation", M. Benhaddad a mis en avant "le droit inaliénable et imprescriptible du peuple sahraoui à l'autodétermination". L'intervenant s'est dit convaincu quant à la capacité des jeunes du monde libre, imprégnés des valeurs de justice et de liberté, "à défendre inlassablement le peuple sahraoui pour lui permettre d'exercer, en toute liberté et souveraineté, son droit légitime à l'autodétermination". Le débat général de la Quatrième Commission de l'ONU, en charge des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a été ouvert, mardi à New York, jusqu'à lundi prochain avec l'écoute des pétitionnaires sur la décolonisation au Sahara occidental ainsi que d'autres territoires inscrits à l'ordre du jour.
NEW YORK (ONU)- Le député parlementaire, Hichem Benhaddad, a affirmé, lors des travaux de la Quatrième Commission onusienne, tenus au siège de l'ONU à New York, que le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination était inaliénable et imprescriptible.
Lors de ses réquisitions, le député a évoqué les résolutions, les recommandations et les avis consultatifs des instances onusiennes, depuis plus de cinq décennies, consacrant juridiquement le droit inaliénable et imprescriptible du peuple sahraoui à l'autodétermination.
Le même intervenant a passé en revue la situation déplorable que vit le peuple sahraoui en raison de l'occupant marocain qui exerce toute forme de répression et de torture ainsi que le pillage de ses richesses et de ses ressources au vu et au su de la communauté internationale.
Il a dénoncé la situation dans laquelle se trouve actuellement le peuple sahraoui après avoir lutté pour arracher sa liberté et son indépendance de l'occupant espagnol dans les années soixante, "pour se retrouver face à un occupant marocain prétendant une pseudo-souveraineté sur les territoires d'un Etat à part entière".
Le député a également condamné les tentatives de l'occupant marocain d'éluder les positions et les résolutions onusiennes ainsi que de la communauté internationale sur la question du Sahara occidental, en cherchant ouvertement à dépeindre une réalité dépourvue de tout fondement juridique, politique, social, voire même culturel, affirmant que le "droit international garantit au peuple sahraoui son droit à l'autodétermination".
Le député a affirmé que "les positions des personnes éprises de liberté, à travers le monde ne s'achètent pas par les revenus du crime organisé, de la traite humaine, de la drogue, du vol et du pillage des richesses des peuples, mais se puisent dans les positions constantes fondées sur les décisions et recommandations des différents organes de l'ONU.
Il a dénoncé, dans ce contexte, les positions de certains pays qui n'ont pas encore rompu avec leur passé colonial en accordant ce qu'il a appelé "instrument de reconnaissance internationale fictive, à tous ceux qui partagent leurs orientations, affirmant que la reconnaissance de certains d'entre eux de la souveraineté fictive du Maroc sur les territoires du Sahara Occidental et son peuple relève de cette catégorie".
Rappelant que "la question du Sahara occidental est inscrite à l'ONU comme une question de décolonisation", M. Benhaddad a mis en avant "le droit inaliénable et imprescriptible du peuple sahraoui à l'autodétermination".
L'intervenant s'est dit convaincu quant à la capacité des jeunes du monde libre, imprégnés des valeurs de justice et de liberté, "à défendre inlassablement le peuple sahraoui pour lui permettre d'exercer, en toute liberté et souveraineté, son droit légitime à l'autodétermination".
Le débat général de la Quatrième Commission de l'ONU, en charge des questions politiques spéciales et de la décolonisation, a été ouvert, mardi à New York, jusqu'à lundi prochain avec l'écoute des pétitionnaires sur la décolonisation au Sahara occidental ainsi que d'autres territoires inscrits à l'ordre du jour.
Quelle est votre réaction ?