Projeté en avant-première mondiale au Festival du film arabe : «Terre de vengeance» de Anis Djaad peine à tenir ses promesses
Projeté en compétition et en avant-première mondiale dans la soirée de dimanche, le film «Terre de Vengeance», du réalisateur algérien Anis Djaad ayant quand-même drainé un peu plus de public que d’habitude, a reçu un accueil mitigé. Les silences, les plans fixes à durée indéterminée, les lenteurs, etc. font certainement écho à son très beau court métrage, le méditatif «Passage à niveau» sorti il y a une dizaine d’années.
Projeté en compétition et en avant-première mondiale dans la soirée de dimanche, le film «Terre de Vengeance», du réalisateur algérien Anis Djaad ayant quand-même drainé un peu plus de public que d’habitude, a reçu un accueil mitigé. Les silences, les plans fixes à durée indéterminée, les lenteurs, etc. font certainement écho à son très beau court métrage, le méditatif «Passage à niveau» sorti il y a une dizaine d’années.
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