Agression sioniste contre le Liban: du personnel de santé et des hôpitaux pris pour cible
BEYROUTH- Le Liban, théâtre d'une agression sioniste sans précédent, continue d'essuyer des attaques contre le personnel de santé, les hôpitaux, les ambulances et les centres de secours, faisant de nouvelles victimes, indiquent jeudi des agences de l'ONU. Selon le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), 87 travailleurs de la santé sont tombés en martyr jusqu'à présent. De son côté, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a recensés 92 personnes tuées et 92 autres blessées au Liban lors de 38 attaques contre des soins de santé au cours des 12 derniers mois. D'après l'OMS, près de 100 établissements de santé dans le sud du Liban ont dû fermer en raison des bombardements de l'armée sioniste. L'OMS a décrit cinq hôpitaux comme "non fonctionnels" et quatre dans des zones "confrontées à un conflit intense" qui ont été contraints d'évacuer le personnel et les patients atteints de cancer et sous dialyse vers d'autres hôpitaux déjà au maximum de leur capacité. Face à la détérioration de la situation, l'ONU et ses partenaires, en étroite collaboration avec le gouvernement libanais, continuent à diriger et à coordonner les opérations de secours pour les personnes déplacées et affectées.
BEYROUTH- Le Liban, théâtre d'une agression sioniste sans précédent, continue d'essuyer des attaques contre le personnel de santé, les hôpitaux, les ambulances et les centres de secours, faisant de nouvelles victimes, indiquent jeudi des agences de l'ONU.
Selon le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), 87 travailleurs de la santé sont tombés en martyr jusqu'à présent.
De son côté, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a recensés 92 personnes tuées et 92 autres blessées au Liban lors de 38 attaques contre des soins de santé au cours des 12 derniers mois.
D'après l'OMS, près de 100 établissements de santé dans le sud du Liban ont dû fermer en raison des bombardements de l'armée sioniste.
L'OMS a décrit cinq hôpitaux comme "non fonctionnels" et quatre dans des zones "confrontées à un conflit intense" qui ont été contraints d'évacuer le personnel et les patients atteints de cancer et sous dialyse vers d'autres hôpitaux déjà au maximum de leur capacité.
Face à la détérioration de la situation, l'ONU et ses partenaires, en étroite collaboration avec le gouvernement libanais, continuent à diriger et à coordonner les opérations de secours pour les personnes déplacées et affectées.
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