Ghaza : l'utilisation par l'armée sioniste d'armes interdites a fait 320 victimes en deux jours
GHAZA - Les autorités palestiniennes à Ghaza ont déclaré qu'au cours des deux derniers jours, plus de 320 Palestiniens ont été admis à l'hôpital dans l'enclave avec de graves brûlures dues à des armes interdites au niveau international utilisées par l'armée sioniste. Dans un communiqué, le Bureau des médias de Ghaza a déclaré que "les évaluations des médecins suggéraient que les brûlures au troisième degré sur les corps des patients, dont beaucoup sont décédés, ont été causées par les armes utilisées (par l'armée sioniste)". Il s'agit, selon la source, d'armes chimiques ou thermiques, et dont l'utilisation contre des êtres humains est interdite au niveau international. La guerre génocidaire sioniste à Ghaza, qui est en à son 9ème mois, a fait 38.712 martyrs et au moins 89.166 blessés, selon le dernier bilan des autorités sanitaires palestiniennes. La guerre a laissé également de vastes étendues de Ghaza en ruines, sous un blocus paralysant la fourniture de nourriture, de l’eau potable et de médicaments.
GHAZA - Les autorités palestiniennes à Ghaza ont déclaré qu'au cours des deux derniers jours, plus de 320 Palestiniens ont été admis à l'hôpital dans l'enclave avec de graves brûlures dues à des armes interdites au niveau international utilisées par l'armée sioniste.
Dans un communiqué, le Bureau des médias de Ghaza a déclaré que "les évaluations des médecins suggéraient que les brûlures au troisième degré sur les corps des patients, dont beaucoup sont décédés, ont été causées par les armes utilisées (par l'armée sioniste)".
Il s'agit, selon la source, d'armes chimiques ou thermiques, et dont l'utilisation contre des êtres humains est interdite au niveau international.
La guerre génocidaire sioniste à Ghaza, qui est en à son 9ème mois, a fait 38.712 martyrs et au moins 89.166 blessés, selon le dernier bilan des autorités sanitaires palestiniennes.
La guerre a laissé également de vastes étendues de Ghaza en ruines, sous un blocus paralysant la fourniture de nourriture, de l’eau potable et de médicaments.
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