JO-2024: la lutte algérienne vise une médaille historique à Paris
ALGER - La sélection algérienne de luttes associées, avec huit athlètes qualifiés aux Jeux olympiques 2024 de Paris (six messieurs et deux dames), compte obtenir un résultat honorable, et pourquoi pas remporter une médaille olympique, la première dans l'histoire de la lutte algérienne, selon l'entraîneur national de la lutte libre Mohamed Benrahmoune. "Notre équipe vise à améliorer le résultat obtenu lors des JO 2020 de Tokyo où la lutte algérienne avait décroché une honorable septième place grâce à Sid Azara Bachir (lutte gréco-romaine), d'autant que la préparation des lutteurs pour le rendez-vous parisien a été très satisfaisante, avec notamment la participation à plusieurs stages bloqués à Alger et à l'étranger, ce qui leur permettra d'entamer la compétition avec l'ambition d'obtenir quelque chose.", a déclaré à l'APS Mohamed Benrahmoune. Lors des épreuves de la lutte qui se tiendront du 5 au 12 août, l'Algérie sera représentée en lutte féminine par Ibtissem Doudou (50 kg) et Chaïma Fouzia Aouissi (57 kg), alors que Fateh Benfardjallah (86 kg) sera le seul représentant algérien en lutte libre. Ces trois athlètes effectuent actuellement leur ultime phase de préparation au Centre national de regroupement et de préparation des équipes sportives à Souidania (Alger) qui se poursuivra jusqu'au 1er août. Le sélectionneur national de la lutte libre a souligné également que la participation des dames au rendez-vous olympique de Paris constitue une première historique pour la lutte féminine algérienne, affirmant que "la qualification d'Ibtissem Doudou (50 kg) et Chaïma Fouzia Aouissi (57 kg) est déjà une grosse performance. Les deux lutteuses ont une grande envie d'obtenir de bons résultats". Quant aux cinq athlètes de la lutte gréco-romaine, Abdelkrim Fergat (60 kg), Ishak Ghaiou (67 kg), Abdelkrim Ouakali (77 kg), Bachir Sid Azara (87 kg) et Fadi Rouabah (97 kg), ils poursuivent leur préparation en Hongrie jusqu'au 25 juillet, dans le but d'acquérir plus d'expérience avec des athlètes de haut niveau qui sont présents sur place, avant de regagner Alger le 26 juillet et rejoindre ensuite leurs coéquipiers au Centre de Souidania. Interrogé sur les objectifs de la participation algérienne aux JO de Paris, Benrahmoune a répondu: "Nous espérons obtenir un bon résultat (...) Nous travaillons dur pour pouvoir offrir une médaille olympique historique à l'Algérie. Nous tenterons de faire mieux que la septième place obtenue à Tokyo qui reste, jusqu'à présent, le meilleur résultat réalisé par la lutte algérienne". M. Benrahmoune a estimé d'autre part que "tous les athlètes algériens sont déterminés à aller le plus loin possible dans une compétition qui regroupera les meilleurs lutteurs de la planète". Par ailleurs, les staffs techniques nationaux appréhendent beaucoup les risques de blessures des athlètes lors de la période de préparation qui précède la compétition ce qui nécessite une prudence mesurée. Le facteur psychologique aura également un rôle important lors de ces grands rendez-vous sportifs selon le coach national, soulignant qu'une grande partie de la dernière préparation précompétitive a été consacrée à l'aspect psychologique des athlètes, très important avant d'entamer la compétition.
ALGER - La sélection algérienne de luttes associées, avec huit athlètes qualifiés aux Jeux olympiques 2024 de Paris (six messieurs et deux dames), compte obtenir un résultat honorable, et pourquoi pas remporter une médaille olympique, la première dans l'histoire de la lutte algérienne, selon l'entraîneur national de la lutte libre Mohamed Benrahmoune.
"Notre équipe vise à améliorer le résultat obtenu lors des JO 2020 de Tokyo où la lutte algérienne avait décroché une honorable septième place grâce à Sid Azara Bachir (lutte gréco-romaine), d'autant que la préparation des lutteurs pour le rendez-vous parisien a été très satisfaisante, avec notamment la participation à plusieurs stages bloqués à Alger et à l'étranger, ce qui leur permettra d'entamer la compétition avec l'ambition d'obtenir quelque chose.", a déclaré à l'APS Mohamed Benrahmoune.
Lors des épreuves de la lutte qui se tiendront du 5 au 12 août, l'Algérie sera représentée en lutte féminine par Ibtissem Doudou (50 kg) et Chaïma Fouzia Aouissi (57 kg), alors que Fateh Benfardjallah (86 kg) sera le seul représentant algérien en lutte libre.
Ces trois athlètes effectuent actuellement leur ultime phase de préparation au Centre national de regroupement et de préparation des équipes sportives à Souidania (Alger) qui se poursuivra jusqu'au 1er août.
Le sélectionneur national de la lutte libre a souligné également que la participation des dames au rendez-vous olympique de Paris constitue une première historique pour la lutte féminine algérienne, affirmant que "la qualification d'Ibtissem Doudou (50 kg) et Chaïma Fouzia Aouissi (57 kg) est déjà une grosse performance. Les deux lutteuses ont une grande envie d'obtenir de bons résultats".
Quant aux cinq athlètes de la lutte gréco-romaine, Abdelkrim Fergat (60 kg), Ishak Ghaiou (67 kg), Abdelkrim Ouakali (77 kg), Bachir Sid Azara (87 kg) et Fadi Rouabah (97 kg), ils poursuivent leur préparation en Hongrie jusqu'au 25 juillet, dans le but d'acquérir plus d'expérience avec des athlètes de haut niveau qui sont présents sur place, avant de regagner Alger le 26 juillet et rejoindre ensuite leurs coéquipiers au Centre de Souidania.
Interrogé sur les objectifs de la participation algérienne aux JO de Paris, Benrahmoune a répondu: "Nous espérons obtenir un bon résultat (...) Nous travaillons dur pour pouvoir offrir une médaille olympique historique à l'Algérie. Nous tenterons de faire mieux que la septième place obtenue à Tokyo qui reste, jusqu'à présent, le meilleur résultat réalisé par la lutte algérienne".
M. Benrahmoune a estimé d'autre part que "tous les athlètes algériens sont déterminés à aller le plus loin possible dans une compétition qui regroupera les meilleurs lutteurs de la planète".
Par ailleurs, les staffs techniques nationaux appréhendent beaucoup les risques de blessures des athlètes lors de la période de préparation qui précède la compétition ce qui nécessite une prudence mesurée.
Le facteur psychologique aura également un rôle important lors de ces grands rendez-vous sportifs selon le coach national, soulignant qu'une grande partie de la dernière préparation précompétitive a été consacrée à l'aspect psychologique des athlètes, très important avant d'entamer la compétition.
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