Palestine occupée : il n'y a pas d'alternative à la présence de l'Unrwa (Lazzarini)
GENEVE - Il n'y a pas d'alternative à l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans les territoires palestiniens occupés, a affirmé son chef lundi, Philippe Lazzarini, en réaction à la volonté de l'entité sioniste de mettre fin aux activités de l'agence onusienne. "Il n'y a pas de plan B au sein de la famille des Nations unies, parce qu'il n'y a pas d'autre agence capable de fournir les mêmes activités", a déclaré le commissaire général de l'Unrwa, M. Lazzarini, lors d'une conférence de presse à Genève. "Si vous parlez d'amener un camion avec la nourriture, vous trouvez certainement une alternative" mais "la réponse est non" en matière d'éducation et de santé primaire", a-t-il expliqué. En octobre, l'entité sioniste avait décidé d'interdire à l'Unrwa de poursuivre ses activités sur les territoires palestiniens occupés, affirmant que deux lois en ce sens "prendront effet 90 jours après leur adoption". Lazzarini a appelé, à cet égard, la communauté internationale à agir pour empêcher que ces lois soient appliquées, prévenant que dans le cas de leur application, "cela signifie que nous ne pourrons plus opérer à Ghaza, (...) coordonner nos mouvements". Pour le personnel de l'Unrwa, il y a une crainte quant "à l'insécurité de l'emploi, mais au-delà de cela, il y a une peur réelle que n'importe lequel d'entre eux puisse être arrêté", a-t-il affirmé.
GENEVE - Il n'y a pas d'alternative à l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans les territoires palestiniens occupés, a affirmé son chef lundi, Philippe Lazzarini, en réaction à la volonté de l'entité sioniste de mettre fin aux activités de l'agence onusienne.
"Il n'y a pas de plan B au sein de la famille des Nations unies, parce qu'il n'y a pas d'autre agence capable de fournir les mêmes activités", a déclaré le commissaire général de l'Unrwa, M. Lazzarini, lors d'une conférence de presse à Genève.
"Si vous parlez d'amener un camion avec la nourriture, vous trouvez certainement une alternative" mais "la réponse est non" en matière d'éducation et de santé primaire", a-t-il expliqué.
En octobre, l'entité sioniste avait décidé d'interdire à l'Unrwa de poursuivre ses activités sur les territoires palestiniens occupés, affirmant que deux lois en ce sens "prendront effet 90 jours après leur adoption".
Lazzarini a appelé, à cet égard, la communauté internationale à agir pour empêcher que ces lois soient appliquées, prévenant que dans le cas de leur application, "cela signifie que nous ne pourrons plus opérer à Ghaza, (...) coordonner nos mouvements".
Pour le personnel de l'Unrwa, il y a une crainte quant "à l'insécurité de l'emploi, mais au-delà de cela, il y a une peur réelle que n'importe lequel d'entre eux puisse être arrêté", a-t-il affirmé.
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