Kheïredine Barbari continue l’aventure
À l’issue de l’Assemblée générale élective qui s’est tenue hier matin au siège du Comité olympique et sportif algérien (COA) à Ben Aknoun, (Alger), le président sortant de la Fédération algérienne de cyclisme (FAC), Kheïredine Barbari, a été réélu à l’unanimité à la tête de l’instance fédérale de la « petite reine » pour le …
À l’issue de l’Assemblée générale élective qui s’est tenue hier matin au siège du Comité olympique et sportif algérien (COA) à Ben Aknoun, (Alger), le président sortant de la Fédération algérienne de cyclisme (FAC), Kheïredine Barbari, a été réélu à l’unanimité à la tête de l’instance fédérale de la « petite reine » pour le mandat olympique 2024-2028. Candidat unique au poste de président, Barbari a été réélu ainsi que sa liste composant le bureau fédéral, à savoir onze (11) membres dont une femme et trois membres suppléants, par 34 membres sur les 36 membres présents à l’AG, en présence d’un représentant du ministère de la Jeunesse et des Sports.
L’ancien président de la Ligue de Biskra, et président de l’instance fédérale depuis avril 2019, il a réaffirmé sa détermination à aller de l’avant dans le seul but de redonner au cyclisme algérien la place qui lui sied et achever le programme déjà entamé lors du précédent mandat olympique.
« Notre souci majeur demeure le développement de la base, en multipliant le nombre de licenciés et de pratiquants, une priorité qui passe par la mobilisation et la création des clubs et ligues. Le passage de la caravane du Tour d’Algérie et l’organisation des grands tours cyclistes sensibilisera les autorités locales à créer des clubs dont l’objectif est de promouvoir de nouveaux jeunes talents, et l’amélioration des performances », peut-on lire dans le programme présenté par Barbari lors de l’AG élective.
Pour le président de la FAC, les clubs formateurs bénéficieront de certains avantages de la part de l’instance fédérale pour alléger leurs charges surtout matérielles, et ce, en fonction des moyens dont elle dispose. Ces jeunes trouveront dans les pôles régionaux de développement un cadre adéquat pour évoluer et progresser.
Il a également plaidé pour la création d’un centre national de développement du cyclisme qui constitue un rêve pour lequel «nous allons nous mobiliser pour sa concrétisation», déplorant tout de même le manque de compétitions nationales avec le déroulement de très peu de courses cette année.
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