L'agression contre les Palestiniens montre qu'il n'y a pas de ligne rouge pour les massacres perpétrés par L'entité sioniste
CISJORDANIE OCCUPEE - L'agression sioniste contre les Palestiniens à Ghaza et en Cisjordanie occupée montre qu'il n'y a "pas de lignes rouges" pour les massacres perpétrés par l'entité sioniste, affirme le site d'information "Middle East Eye". "En tant que Palestinien, où que vous viviez - à Ghaza, en Cisjordanie occupée, en tant que résident d'Al Qods (...) (l'entité sioniste) peut vous faire tout ce qu'elle veut. Vous, votre maison et votre famille pouvez disparaître du jour au lendemain, sans qu'aucune question ne soit posée. Ghaza et maintenant la Cisjordanie occupée nous ont montré à tous qu'il n'y a pas de lignes rouges", a-t-il soutenu. Dans un article publié récemment sous le titre "Attaques en Cisjordanie : Pour les dirigeants occidentaux, il n'y a pas de ligne rouge pour les massacres perpétrés par (l'entité sioniste)", le site s'est demandé "combien d'enfants doivent être tués avant que le monde ne demande l'arrêt de ce massacre ?" et d'affirmer par la suite que "la réponse est qu'il n'y a pas de limite". Selon ce site, "le génocide, dont le monde a juré qu'il ne se reproduirait plus jamais après l'Holocauste, est en train d'être normalisé". "Chaque Palestinien sait que (l'entité sioniste) jouit d'une impunité totale, d'une liberté totale de faire ce qu'elle veut", a-t-il déploré, espérant qu'"à long terme, la Cour internationale de justice ou la Cour pénale internationale l'emporteront sur les tentatives des Etats-Unis et d'autres pays de les museler". "Mais rien de tout cela ne protège aujourd'hui Jénine, Tulkarm ou Tubas. Rien de tout cela n'empêche (l'entité sioniste) de larguer des bombes de 1000 livres sur des tentes", a-t-il regretté, soutenant, à ce titre, que l'agression contre la Cisjordanie "était prévue avant le 7 octobre". "Elle a été reportée par la guerre de Ghaza, mais aussi affinée et peaufinée par elle", a estimé le site. Lorsque l'entité sioniste, a-t-il poursuivi, "a vu combien de sang palestinien les Etats-Unis et l'Europe étaient prêts à tolérer à Ghaza - combien de destructions, combien de millions de personnes seraient continuellement déplacées, et pour combien de temps - (l'entité sioniste) s'est sentie enhardie à faire subir le même enfer à sa véritable cible : la Cisjordanie occupée". Ainsi, les attaques terrestres et aériennes contre Jénine, Tulkarem et Tubas, ainsi que la mise en place d'un siège, le bouclage des hôpitaux et la détention du personnel médical, sont "toutes dirigées contre la population, tout comme à Ghaza", a-t-il ajouté. Pour ce site, l'attaque des camps de réfugiés de Balata, Nour Shams, Jénine et Far'a a "un objectif clinique". "Les camps représentent la densité de la population palestinienne de tous horizons. L'objectif de (l'entité sioniste) est de procéder à un nettoyage ethnique des camps afin d'effacer les derniers vestiges de la revendication fondamentale du peuple palestinien d'un droit au retour", a-t-il expliqué.
CISJORDANIE OCCUPEE - L'agression sioniste contre les Palestiniens à Ghaza et en Cisjordanie occupée montre qu'il n'y a "pas de lignes rouges" pour les massacres perpétrés par l'entité sioniste, affirme le site d'information "Middle East Eye".
"En tant que Palestinien, où que vous viviez - à Ghaza, en Cisjordanie occupée, en tant que résident d'Al Qods (...) (l'entité sioniste) peut vous faire tout ce qu'elle veut. Vous, votre maison et votre famille pouvez disparaître du jour au lendemain, sans qu'aucune question ne soit posée. Ghaza et maintenant la Cisjordanie occupée nous ont montré à tous qu'il n'y a pas de lignes rouges", a-t-il soutenu.
Dans un article publié récemment sous le titre "Attaques en Cisjordanie : Pour les dirigeants occidentaux, il n'y a pas de ligne rouge pour les massacres perpétrés par (l'entité sioniste)", le site s'est demandé "combien d'enfants doivent être tués avant que le monde ne demande l'arrêt de ce massacre ?" et d'affirmer par la suite que "la réponse est qu'il n'y a pas de limite".
Selon ce site, "le génocide, dont le monde a juré qu'il ne se reproduirait plus jamais après l'Holocauste, est en train d'être normalisé".
"Chaque Palestinien sait que (l'entité sioniste) jouit d'une impunité totale, d'une liberté totale de faire ce qu'elle veut", a-t-il déploré, espérant qu'"à long terme, la Cour internationale de justice ou la Cour pénale internationale l'emporteront sur les tentatives des Etats-Unis et d'autres pays de les museler".
"Mais rien de tout cela ne protège aujourd'hui Jénine, Tulkarm ou Tubas. Rien de tout cela n'empêche (l'entité sioniste) de larguer des bombes de 1000 livres sur des tentes", a-t-il regretté, soutenant, à ce titre, que l'agression contre la Cisjordanie "était prévue avant le 7 octobre".
"Elle a été reportée par la guerre de Ghaza, mais aussi affinée et peaufinée par elle", a estimé le site.
Lorsque l'entité sioniste, a-t-il poursuivi, "a vu combien de sang palestinien les Etats-Unis et l'Europe étaient prêts à tolérer à Ghaza - combien de destructions, combien de millions de personnes seraient continuellement déplacées, et pour combien de temps - (l'entité sioniste) s'est sentie enhardie à faire subir le même enfer à sa véritable cible : la Cisjordanie occupée".
Ainsi, les attaques terrestres et aériennes contre Jénine, Tulkarem et Tubas, ainsi que la mise en place d'un siège, le bouclage des hôpitaux et la détention du personnel médical, sont "toutes dirigées contre la population, tout comme à Ghaza", a-t-il ajouté.
Pour ce site, l'attaque des camps de réfugiés de Balata, Nour Shams, Jénine et Far'a a "un objectif clinique".
"Les camps représentent la densité de la population palestinienne de tous horizons. L'objectif de (l'entité sioniste) est de procéder à un nettoyage ethnique des camps afin d'effacer les derniers vestiges de la revendication fondamentale du peuple palestinien d'un droit au retour", a-t-il expliqué.
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