Le CNES salue les décisions Tebboune : Une vision humaniste et pragmatique

Le Conseil national des professeurs de l’enseignement supérieur (CNES) a salué les décisions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors du dernier Conseil des ministres, les qualifiant de stratégiques pour l’avenir du secteur universitaire. C’est ce qu’a indiqué, ce mardi, Abdelhamid Milat, président du CNES dans un communiqué.

Milat a particulièrement mis en avant l’importance des mesures liées à l’enseignement supérieur et à la recherche scientifique, qualifiant ces décisions de « stratégiques et porteuses d’espoir pour toute la communauté universitaire ». Il a ajouté : « Ces décisions stratégiques ont ravi la communauté universitaire et traduisent clairement la profondeur et la portée de la vision du président pour ce secteur». Il a également exprimé le soutien inconditionnel du CNES à ces réformes assurant de son engagement, aux côtés des autres acteurs de la communauté universitaire afin d’assurer leur mise en œuvre et leur réussite.

Parmi les mesures phares adoptées lors du dernier Conseil des ministres, le CNES a particulièrement salué la création d’un comité chargé d’examiner les services universitaires, ainsi que l’élaboration d’un plan global de réforme du secteur. Ce plan prévoit, entre autres, une révision des systèmes de bourses et d’hébergement, deux aspects fondamentaux pour améliorer les conditions de vie des étudiants et favoriser leur réussite. Le président du CNES a tenu à mettre en exergue le fait que « ces réformes placent l’étudiant au centre des priorités, traduisant une vision humaniste et pragmatique qui met en avant l’équité et la réussite ».

En outre, le CNES a également vivement salué l’engagement du Président Tebboune en faveur du renforcement du travail syndical et du respect des droits syndicaux.  Le président du CNES estime que ces réformes garantissent une participation effective des syndicats dans les processus décisionnels, créant ainsi un espace de dialogue constructif et démocratique. Il a ainsi relevé qu’« en garantissant une véritable participation des syndicats aux processus décisionnels, ces mesures instaurent un climat de concertation et de confiance, indispensable pour mener à bien les réformes ».

Par ailleurs, le président du CNES a tenu à rappeler les grandes avancées réalisées, ces cinq dernières années, dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Selon lui, ces avancées témoignent de l’intérêt sans précédent porté par le Président Tebboune à ce secteur stratégique, ils ont permis à l’université algérienne de se hisser à des positions honorables aux niveaux régional et continental. Milat a décrit cette phase comme « un tournant historique pour l’université algérienne, que nous pouvons considérer comme à son âge d’or ».

Depuis 2020, l’un des chantiers les plus emblématiques a été la numérisation des structures universitaires. Pour le CNES, cette initiative a permis de moderniser en profondeur les procédures administratives, simplifiant la gestion académique et améliorant l’efficacité des établissements. Affirmant que « la digitalisation a offert à nos universités les outils nécessaires pour s’adapter aux exigences du monde contemporain et devenir des acteurs compétitifs à l’échelle internationale.

Ces réformes ont également renforcé les interactions entre l’université et son environnement socio-économique. Les établissements d’enseignement supérieur jouent désormais un rôle important dans le développement national, grâce à des partenariats stratégiques avec les secteurs industriels et économiques. Milat a ainsi relevé que « l’université algérienne n’est plus seulement un espace de transmission de savoir, elle est devenue un moteur du progrès économique et social ».

Malgré ces réussites, le CNES a insisté sur la nécessité d’une mobilisation collective pour garantir le succès des réformes en cours. Milat a affirmé avec conviction : « Nous avons aujourd’hui une opportunité historique de bâtir une université moderne, inclusive et performante, en phase avec les aspirations nationales et les défis internationaux. Cette chance, nous devons la saisir ensemble ». Pour mener à bien cette mission, il a lancé un appel à tous les acteurs de l’enseignement supérieur, des enseignants aux chercheurs, en passant par les étudiants, à s’engager activement dans cette transformation.

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