Les mots "nettoyage ethnique" de plus en plus employés sur l'agression sioniste à Ghaza
BRUXELLES - Les mots "nettoyage ethnique" sont de plus en plus employés quant à la situation dans la bande de Ghaza, où l'entité sioniste mène une agression barbare, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell. "Les mots « nettoyage ethnique » sont de plus en plus utilisés pour décrire ce qui se passe" à Ghaza, a-t-il déclaré sur les réseaux sociaux. "Je condamne avec fermeté les dernières frappes (sionistes) à Jabalia, dans la bande de Ghaza. La réalité quotidienne des déplacements forcés viole le droit international", a-t-il ajouté. La Défense civile palestinienne a fait état dimanche d'au moins 25 martyrs, dont 13 enfants, dans une frappe qui a visé une maison à Jabalia, dans le nord du territoire palestinien. Une autre frappe sioniste a touché une maison à Ghaza-ville, également dans le nord, faisant cinq martyrs, selon la Défense civile. "Le recours à la faim comme arme de guerre est également contraire au droit humanitaire international", a encore souligné le chef de la diplomatie européenne, avertissant de la "forte probabilité d'une famine" dans le nord de Ghaza.
BRUXELLES - Les mots "nettoyage ethnique" sont de plus en plus employés quant à la situation dans la bande de Ghaza, où l'entité sioniste mène une agression barbare, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.
"Les mots « nettoyage ethnique » sont de plus en plus utilisés pour décrire ce qui se passe" à Ghaza, a-t-il déclaré sur les réseaux sociaux.
"Je condamne avec fermeté les dernières frappes (sionistes) à Jabalia, dans la bande de Ghaza. La réalité quotidienne des déplacements forcés viole le droit international", a-t-il ajouté.
La Défense civile palestinienne a fait état dimanche d'au moins 25 martyrs, dont 13 enfants, dans une frappe qui a visé une maison à Jabalia, dans le nord du territoire palestinien. Une autre frappe sioniste a touché une maison à Ghaza-ville, également dans le nord, faisant cinq martyrs, selon la Défense civile.
"Le recours à la faim comme arme de guerre est également contraire au droit humanitaire international", a encore souligné le chef de la diplomatie européenne, avertissant de la "forte probabilité d'une famine" dans le nord de Ghaza.
Quelle est votre réaction ?