Présidentielle: début mercredi du vote des bureaux itinérants dans le sud du pays
ALGER - Les populations nomades et des zones reculées et enclavées dans les wilayas du sud du pays commenceront à voter, à partir de demain mercredi, au niveau des bureaux itinérants, dans le cadre de l'élection présidentielle du 7 septembre. A cet égard, les délégations de l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), au niveau des wilayas concernées ont affirmé que "toutes les conditions humaines et matérielles ont été réunies pour garantir le bon déroulement du scrutin". Dans la wilaya de Tindouf, l'opération de vote débutera au niveau de 12 bureaux itinérants, 72 heures avant la date du scrutin et la wilaya de Ouargla a mis en place à son tour 6 bureaux itinérants se situant dans des zones reculées de la daïra frontalière d'El Borma. La wilaya d'Adrar s'est dotée, quant à elle, de 3 bureaux itinérants dans lesquels le processus de vote débute 24 heures avant le 7 septembre courant. Ces bureaux sont répartis à travers les communes de Tsabit, Timi et Reggane. Dans la wilaya frontalière de Bordj Badji Mokhtar, 6 bureaux itinérants ont été mis à disposition pour démarrer le processus de vote 48 heures à l'avance, au profit des bédouins nomades dans les communes de Bordj Badji Mokhtar et Timiaouine. La wilaya de Djanet, située à l'extrême sud-est du pays, sera dotée de 9 bureaux itinérants dans lesquels le scrutin sera avancé de 72 heures. De son côté, la wilaya de Tamanrasset compte 29 bureaux itinérants pour un électorat de 21.603 électeurs inscrits. Le processus de vote débutera au niveau de 19 bureaux itinérants 72 heures avant le jour du scrutin et 10 autres 48 heures avant. Pour la wilaya d'In Salah, 4 bureaux itinérants ont été mobilisés et le processus de vote débutera au niveau de 2 bureaux avant 48 heures et au niveau des deux autres avant 24 heures. Quant à la wilaya de Béchar, il existe 4 bureaux itinérants dans lesquels le processus de vote commence 72 heures avant le jour du scrutin, tandis que le vote débutera 24 heures avant le scrutin dans un bureau mixte. Conformément à l'article 132 de la loi organique relative au régime électoral qui stipule que le président de l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) "peut, à la demande du coordonnateur de la délégation de la wilaya de l'ANIE, décider d'avancer l'ouverture du scrutin de 72 heures maximum dans les communes où il n'est pas possible de procéder aux opérations de vote le jour même du scrutin, à cause de l'éloignement et la dispersion des habitants, et cela selon une décision qui sera publiée immédiatement par tous moyens appropriés". Le président de l'ANIE peut également décider d'"avancer l'ouverture du vote d'un maximum de 72 heures pour toute autre raison dans une commune déterminée". Des équipes d'encadreurs ont été déployées pour la gestion de l'opération dans ces bureaux itinérants, tout en fournissant tous les moyens nécessaires, y compris des véhicules tout terrain en raison des chemins difficiles qui caractérisent ces zones reculées du sud, en plus de permettre aux observateurs et représentants des trois candidats à l'élection présidentielle de suivre le processus électoral.
ALGER - Les populations nomades et des zones reculées et enclavées dans les wilayas du sud du pays commenceront à voter, à partir de demain mercredi, au niveau des bureaux itinérants, dans le cadre de l'élection présidentielle du 7 septembre.
A cet égard, les délégations de l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), au niveau des wilayas concernées ont affirmé que "toutes les conditions humaines et matérielles ont été réunies pour garantir le bon déroulement du scrutin".
Dans la wilaya de Tindouf, l'opération de vote débutera au niveau de 12 bureaux itinérants, 72 heures avant la date du scrutin et la wilaya de Ouargla a mis en place à son tour 6 bureaux itinérants se situant dans des zones reculées de la daïra frontalière d'El Borma.
La wilaya d'Adrar s'est dotée, quant à elle, de 3 bureaux itinérants dans lesquels le processus de vote débute 24 heures avant le 7 septembre courant. Ces bureaux sont répartis à travers les communes de Tsabit, Timi et Reggane.
Dans la wilaya frontalière de Bordj Badji Mokhtar, 6 bureaux itinérants ont été mis à disposition pour démarrer le processus de vote 48 heures à l'avance, au profit des bédouins nomades dans les communes de Bordj Badji Mokhtar et Timiaouine.
La wilaya de Djanet, située à l'extrême sud-est du pays, sera dotée de 9 bureaux itinérants dans lesquels le scrutin sera avancé de 72 heures.
De son côté, la wilaya de Tamanrasset compte 29 bureaux itinérants pour un électorat de 21.603 électeurs inscrits.
Le processus de vote débutera au niveau de 19 bureaux itinérants 72 heures avant le jour du scrutin et 10 autres 48 heures avant.
Pour la wilaya d'In Salah, 4 bureaux itinérants ont été mobilisés et le processus de vote débutera au niveau de 2 bureaux avant 48 heures et au niveau des deux autres avant 24 heures.
Quant à la wilaya de Béchar, il existe 4 bureaux itinérants dans lesquels le processus de vote commence 72 heures avant le jour du scrutin, tandis que le vote débutera 24 heures avant le scrutin dans un bureau mixte.
Conformément à l'article 132 de la loi organique relative au régime électoral qui stipule que le président de l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) "peut, à la demande du coordonnateur de la délégation de la wilaya de l'ANIE, décider d'avancer l'ouverture du scrutin de 72 heures maximum dans les communes où il n'est pas possible de procéder aux opérations de vote le jour même du scrutin, à cause de l'éloignement et la dispersion des habitants, et cela selon une décision qui sera publiée immédiatement par tous moyens appropriés".
Le président de l'ANIE peut également décider d'"avancer l'ouverture du vote d'un maximum de 72 heures pour toute autre raison dans une commune déterminée".
Des équipes d'encadreurs ont été déployées pour la gestion de l'opération dans ces bureaux itinérants, tout en fournissant tous les moyens nécessaires, y compris des véhicules tout terrain en raison des chemins difficiles qui caractérisent ces zones reculées du sud, en plus de permettre aux observateurs et représentants des trois candidats à l'élection présidentielle de suivre le processus électoral.
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