Présidentielle: un Algérien issu d'une famille établie de longue date en Egypte considère le vote un acte d'appartenance à la patrie
LE CAIRE - Descendant d'une famille algérienne établie en Egypte depuis presque un siècle et demi, un citoyen algérien nommé Mohamed Khirat, considère le vote dans le cadre de l'élection présidentielle du 7 septembre, non seulement un devoir national mais aussi un acte d'appartenance à la patrie et un hommage aux sacrifices de ceux qui ont voué leur vie pour le pays. Malgré les difficultés pour se rendre au bureau de vote au niveau de l'ambassade d'Algérie au Caire, dues à son âge avancé et à son état de santé, M. Mohamed Khirat, octogénaire, a accompli son devoir électoral avec une grande fierté et un patriotisme élevé que sa famille lui avait transmis au fil des générations. Originaire de la wilaya de Mostaganem, la famille de M. Mohamed Khirat se veut le symbole d'appartenance spirituelle et le lien de fraternité liant les deux peuples algérien et égyptien. Il a précisé que son grand-père, parti en Egypte en 1884, durant la période de la politique de la terre brûlée menée par le colonialisme français en Algérie, fut parmi les premiers ingénieurs ayant supervisé la mise en service du Canal de Suez, quelques années après sa création (1869) et que son père a suivi les traces de son aïeul en exerçant comme ingénieur au sein de l'instance de gestion du Canal de Suez. Le regard fixé sur le drapeau national, muni de son passeport vert, M. Mohamed Khirat n'a pas manqué de mettre en garde contre "les manœuvres et les complots" visant à entraver le processus de développement en Algérie. Pour lui, la région "traverse des tensions sans précédent exacerbées par les forces du mal dans le monde, d'où l'impératif d'une mobilisation totale du peuple algérien et des autres peuples arabes pour se rallier aux institutions souveraines, participer à la prise de décision et veiller à soutenir la stabilité en s'engageant dans l'action politique, notamment par le choix du meilleur pour diriger le pays au cours des cinq prochaines années". Il a appelé les jeunes, à "se rassembler pour préserver la patrie contre les conspirateurs, tant à l'intérieur qu'à l'étranger", faisant observer que la principale arme brandie par les ennemis de l'Algérie est "de semer le doute et le désespoir parmi les enfants de la patrie en quête de les diviser". M. Mohamed Khirat a fait part de la fierté de la communauté nationale établie en Egypte pour les positions honorables de la diplomatie algérienne en faveur des causes justes dans le monde, notamment la cause palestinienne, afin de mettre un terme à l'agression sioniste contre le peuple palestinien". Il a salué le niveau des relations diplomatiques liant les deux pays frères au cours de ces dernières années et exprimé l'espoir de voir des niveaux plus élevés de coopération et de coordination entre les deux pays.
LE CAIRE - Descendant d'une famille algérienne établie en Egypte depuis presque un siècle et demi, un citoyen algérien nommé Mohamed Khirat, considère le vote dans le cadre de l'élection présidentielle du 7 septembre, non seulement un devoir national mais aussi un acte d'appartenance à la patrie et un hommage aux sacrifices de ceux qui ont voué leur vie pour le pays.
Malgré les difficultés pour se rendre au bureau de vote au niveau de l'ambassade d'Algérie au Caire, dues à son âge avancé et à son état de santé, M. Mohamed Khirat, octogénaire, a accompli son devoir électoral avec une grande fierté et un patriotisme élevé que sa famille lui avait transmis au fil des générations.
Originaire de la wilaya de Mostaganem, la famille de M. Mohamed Khirat se veut le symbole d'appartenance spirituelle et le lien de fraternité liant les deux peuples algérien et égyptien.
Il a précisé que son grand-père, parti en Egypte en 1884, durant la période de la politique de la terre brûlée menée par le colonialisme français en Algérie, fut parmi les premiers ingénieurs ayant supervisé la mise en service du Canal de Suez, quelques années après sa création (1869) et que son père a suivi les traces de son aïeul en exerçant comme ingénieur au sein de l'instance de gestion du Canal de Suez.
Le regard fixé sur le drapeau national, muni de son passeport vert, M. Mohamed Khirat n'a pas manqué de mettre en garde contre "les manœuvres et les complots" visant à entraver le processus de développement en Algérie.
Pour lui, la région "traverse des tensions sans précédent exacerbées par les forces du mal dans le monde, d'où l'impératif d'une mobilisation totale du peuple algérien et des autres peuples arabes pour se rallier aux institutions souveraines, participer à la prise de décision et veiller à soutenir la stabilité en s'engageant dans l'action politique, notamment par le choix du meilleur pour diriger le pays au cours des cinq prochaines années".
Il a appelé les jeunes, à "se rassembler pour préserver la patrie contre les conspirateurs, tant à l'intérieur qu'à l'étranger", faisant observer que la principale arme brandie par les ennemis de l'Algérie est "de semer le doute et le désespoir parmi les enfants de la patrie en quête de les diviser".
M. Mohamed Khirat a fait part de la fierté de la communauté nationale établie en Egypte pour les positions honorables de la diplomatie algérienne en faveur des causes justes dans le monde, notamment la cause palestinienne, afin de mettre un terme à l'agression sioniste contre le peuple palestinien".
Il a salué le niveau des relations diplomatiques liant les deux pays frères au cours de ces dernières années et exprimé l'espoir de voir des niveaux plus élevés de coopération et de coordination entre les deux pays.
Quelle est votre réaction ?