Valoriser l’héritage historique c’est fortifier la nation et renforcer son lien avec la patrie
SETIF - Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga, a souligné, mardi soir à Sétif, que la "valorisation de l’héritage historique garantit la fortification de la nation et le renforcement de son lien avec la patrie". En visite de travail de deux jours dans la wilaya de Sétif, où il doit présider les cérémonies commémorant la journée nationale de la mémoire et le 79ème anniversaire des massacres du 8-Mai 1945, le ministre a déclaré, au cours d’un séminaire national organisé à l’université Mohamed-Lamine Debaghine (Sétif 2) par la Fondation du 8-Mai 1945, intitulé "Les crimes du colonialisme dans le monde, les massacres du 8 mai 1945 comme exemple", que "la valorisation du legs historique, et sa transmission à la jeunesse algérienne, est la plus grande garantie pour la fortification de la nation et le raffermissement de son lien avec la patrie". M. Rebiga a ajouté que c’est "à partir de ce principe que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a pris l’initiative de consacrer le 8 mai en tant que journée nationale de la mémoire, ce qui constitue une preuve de loyauté envers les sacrifices des Martyrs et une reconnaissance de leurs hautes valeurs et de leurs nobles principes". Le ministre a également souligné que ce qui a été réalisé, ces dernières années, au sujet de la mémoire nationale, "représente un acquis sans précédent qui permet aux générations montantes de se nourrir fièrement de l’histoire de leur pays". Il a indiqué, à cet égard, que cet acquis "développe la fierté d’appartenir à la patrie des martyrs vertueux et des valeureux Moudjahidine", et "nécessite de la part des jeunes une adhésion aux valeurs de la mémoire, profondément ancrées dans l’histoire", et une "volonté de préserver les acquis nationaux". M. Laïd Rebiga a également souligné que la Journée nationale de la mémoire, commémorant les massacres du 8 mai 1945, "rappelle les jours difficiles qui ont constitué l’apogée des sacrifices de dizaines de milliers de Martyrs après que le colonisateur ait trahi ses promesses". Il a souligné, dans le même contexte, "la nécessité de s’inspirer des hautes significations du sacrifice et du Fida pour le pays, et de suivre l’exemple de ceux qui ont forgé une étape historique qui a ouvert la voie à la liberté, à la dignité et à l’émancipation". Le wali de Sétif, Mustapha Limani, avait auparavant, dans un discours de bienvenue prononcé à l’ouverture du séminaire, déclaré que la commémoration de ce "jalon historique crucial" est une "occasion de renouveler notre loyauté envers ceux qui ont marqué l’histoire de cette nation en versant leur sang pour la liberté". Il a ajouté que les massacres du 8 mai 1945 ont constitué "l’une des étapes historiques les plus décisives de l’histoire moderne de l’Algérie, car ce fut la première étincelle qui a conduit au déclenchement, dans tout le pays, de la glorieuse Révolution". Le wali a rappelé que les atrocités et les massacres odieux commis dans les régions de Sétif, de Guelma et de Kherrata (Bejaia) le 8 mai 1945, "resteront gravés dans la mémoire nationale", appelant également tous "les acteurs de la société et les forces vives de notre pays, arrosé du sang pur des Martyrs, à serrer les rangs et à unifier la parole afin de poursuivre l’œuvre de construction et de la nouvelle Algérie". Cette rencontre, au cours de laquelle professeurs d’université et historiens ont longuement débattu des massacres du 8 mai 1945 et de leur impact, à Sétif, Guelma et Kherrata, a vu la présence du secrétaire général de l’Organisation nationale des enfants de Chouhada, du président du Conseil national des droits de l’Homme, du secrétaire de wilaya de l’Organisation nationale des moudjahidine, d’un représentant du président de la Fondation du 8-Mai 1945, des membres des deux chambres du Parlement, de nombreux cadres de l’Etat, des recteurs des universités Mohamed-Lamine Debaghine et Farhat Abbas (Sétif 1), d’étudiants du département d’Histoire et de nombreux acteurs de la société civile. Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit poursuivra sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Sétif, mercredi, en participant à plusieurs activités programmées dans le cadre de la commémoration de la Journée nationale de la mémoire et du 79ème anniversaire des massacres du 8 mai 1945. Il se rendra notamment au cimetière de Sidi Saïd (où se trouve une des fosses communes des massacres du 8 mai 1945) où il assistera à la levée des couleurs et à une cérémonie de recueillement à la mémoire des Martyrs, avant de rendre visite au président de la Fondation du 8-Mai 1945, le Moudjahid Abdelhamid Salakdji en son domicile.
SETIF - Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga, a souligné, mardi soir à Sétif, que la "valorisation de l’héritage historique garantit la fortification de la nation et le renforcement de son lien avec la patrie".
En visite de travail de deux jours dans la wilaya de Sétif, où il doit présider les cérémonies commémorant la journée nationale de la mémoire et le 79ème anniversaire des massacres du 8-Mai 1945, le ministre a déclaré, au cours d’un séminaire national organisé à l’université Mohamed-Lamine Debaghine (Sétif 2) par la Fondation du 8-Mai 1945, intitulé "Les crimes du colonialisme dans le monde, les massacres du 8 mai 1945 comme exemple", que "la valorisation du legs historique, et sa transmission à la jeunesse algérienne, est la plus grande garantie pour la fortification de la nation et le raffermissement de son lien avec la patrie".
M. Rebiga a ajouté que c’est "à partir de ce principe que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a pris l’initiative de consacrer le 8 mai en tant que journée nationale de la mémoire, ce qui constitue une preuve de loyauté envers les sacrifices des Martyrs et une reconnaissance de leurs hautes valeurs et de leurs nobles principes".
Le ministre a également souligné que ce qui a été réalisé, ces dernières années, au sujet de la mémoire nationale, "représente un acquis sans précédent qui permet aux générations montantes de se nourrir fièrement de l’histoire de leur pays".
Il a indiqué, à cet égard, que cet acquis "développe la fierté d’appartenir à la patrie des martyrs vertueux et des valeureux Moudjahidine", et "nécessite de la part des jeunes une adhésion aux valeurs de la mémoire, profondément ancrées dans l’histoire", et une "volonté de préserver les acquis nationaux".
M. Laïd Rebiga a également souligné que la Journée nationale de la mémoire, commémorant les massacres du 8 mai 1945, "rappelle les jours difficiles qui ont constitué l’apogée des sacrifices de dizaines de milliers de Martyrs après que le colonisateur ait trahi ses promesses".
Il a souligné, dans le même contexte, "la nécessité de s’inspirer des hautes significations du sacrifice et du Fida pour le pays, et de suivre l’exemple de ceux qui ont forgé une étape historique qui a ouvert la voie à la liberté, à la dignité et à l’émancipation".
Le wali de Sétif, Mustapha Limani, avait auparavant, dans un discours de bienvenue prononcé à l’ouverture du séminaire, déclaré que la commémoration de ce "jalon historique crucial" est une "occasion de renouveler notre loyauté envers ceux qui ont marqué l’histoire de cette nation en versant leur sang pour la liberté".
Il a ajouté que les massacres du 8 mai 1945 ont constitué "l’une des étapes historiques les plus décisives de l’histoire moderne de l’Algérie, car ce fut la première étincelle qui a conduit au déclenchement, dans tout le pays, de la glorieuse Révolution".
Le wali a rappelé que les atrocités et les massacres odieux commis dans les régions de Sétif, de Guelma et de Kherrata (Bejaia) le 8 mai 1945, "resteront gravés dans la mémoire nationale", appelant également tous "les acteurs de la société et les forces vives de notre pays, arrosé du sang pur des Martyrs, à serrer les rangs et à unifier la parole afin de poursuivre l’œuvre de construction et de la nouvelle Algérie".
Cette rencontre, au cours de laquelle professeurs d’université et historiens ont longuement débattu des massacres du 8 mai 1945 et de leur impact, à Sétif, Guelma et Kherrata, a vu la présence du secrétaire général de l’Organisation nationale des enfants de Chouhada, du président du Conseil national des droits de l’Homme, du secrétaire de wilaya de l’Organisation nationale des moudjahidine, d’un représentant du président de la Fondation du 8-Mai 1945, des membres des deux chambres du Parlement, de nombreux cadres de l’Etat, des recteurs des universités Mohamed-Lamine Debaghine et Farhat Abbas (Sétif 1), d’étudiants du département d’Histoire et de nombreux acteurs de la société civile.
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit poursuivra sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Sétif, mercredi, en participant à plusieurs activités programmées dans le cadre de la commémoration de la Journée nationale de la mémoire et du 79ème anniversaire des massacres du 8 mai 1945.
Il se rendra notamment au cimetière de Sidi Saïd (où se trouve une des fosses communes des massacres du 8 mai 1945) où il assistera à la levée des couleurs et à une cérémonie de recueillement à la mémoire des Martyrs, avant de rendre visite au président de la Fondation du 8-Mai 1945, le Moudjahid Abdelhamid Salakdji en son domicile.
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