Ghaza: des universités belges suspendent leur coopération avec leurs partenaires sionistes
BRUXELLES - Des universités en Belgique ont décidé vendredi de mettre fin à leur coopération académique avec leurs partenaires de l"entité sioniste, réitérant leur condamnation de toutes les violations du droit international humanitaire et des crimes de guerre, notamment à Ghaza, rapportent des médias locaux. Le Conseil Interuniversitaire Flamand (VLIR) a indiqué, dans un communiqué relayé par des médias, qu'"il n'y aurait pas de nouveaux projets" avec les partenaires sionistes, ajoutant que les collaborations existantes "continueront d’être soumises à une évaluation des droits de l'homme". Dans une lettre ouverte datée du 14 janvier, des milliers d'étudiants, de professeurs, de chercheurs et d'autres membres du personnel académique avaient appelé les universités belges à "rompre tous leurs liens" avec les institutions sionistes en raison des attaques à Ghaza et en Cisjordanie occupée. Le VLIR a souligné que "le monde académique porte une responsabilité particulière et qu’il peut jouer un rôle crucial dans la restauration des institutions éducatives et de recherche à Ghaza". Il a également réitéré son appel à la Commission européenne pour qu'elle publie des lignes directrices permettant aux universités participant à des consortiums de recherche financés par l'Union européenne d’"évaluer si les partenaires (sionistes) impliqués dans ces consortiums sont impliqués dans des violations des droits de l'homme". "Nous suivons de près cette situation et poursuivrons le dialogue avec la Commission européenne sans relâche", a déclaré Jan Danckaert, président du VLIR.
BRUXELLES - Des universités en Belgique ont décidé vendredi de mettre fin à leur coopération académique avec leurs partenaires de l"entité sioniste, réitérant leur condamnation de toutes les violations du droit international humanitaire et des crimes de guerre, notamment à Ghaza, rapportent des médias locaux.
Le Conseil Interuniversitaire Flamand (VLIR) a indiqué, dans un communiqué relayé par des médias, qu'"il n'y aurait pas de nouveaux projets" avec les partenaires sionistes, ajoutant que les collaborations existantes "continueront d’être soumises à une évaluation des droits de l'homme".
Dans une lettre ouverte datée du 14 janvier, des milliers d'étudiants, de professeurs, de chercheurs et d'autres membres du personnel académique avaient appelé les universités belges à "rompre tous leurs liens" avec les institutions sionistes en raison des attaques à Ghaza et en Cisjordanie occupée.
Le VLIR a souligné que "le monde académique porte une responsabilité particulière et qu’il peut jouer un rôle crucial dans la restauration des institutions éducatives et de recherche à Ghaza".
Il a également réitéré son appel à la Commission européenne pour qu'elle publie des lignes directrices permettant aux universités participant à des consortiums de recherche financés par l'Union européenne d’"évaluer si les partenaires (sionistes) impliqués dans ces consortiums sont impliqués dans des violations des droits de l'homme".
"Nous suivons de près cette situation et poursuivrons le dialogue avec la Commission européenne sans relâche", a déclaré Jan Danckaert, président du VLIR.