L'UNRWA a perdu plus de 270 de ses employés dans la bande de Ghaza depuis octobre 2023
GENEVE - L'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a déclaré vendredi avoir perdu plus de 270 de ses employés dans la bande de Ghaza, avertissant que l'interdiction par l'entité sioniste de l'agence onusienne aurait des conséquences désastreuses sur la vie et l'avenir des réfugiés palestiniens. La directrice de la communication de l'UNRWA, Juliette Touma, a affirmé que la mise en œuvre intégrale desdites lois qui visent à empêcher l'UNRWA de fournir des services, "aurait des conséquences désastreuses sur la vie et l'avenir des réfugiés palestiniens". S'adressant aux journalistes à Genève, Touma a déclaré que "l'agence n'avait pas encore reçu de communication" des autorités (sionistes) sur la manière dont les deux lois seraient mises en œuvre dans le territoire occupé, mais, selon elle, "les visas des employés internationaux ont expiré il y a deux jours, les obligeant à quitter les territoires palestiniens". Touma a souligné à l'occasion que l'UNRWA avait perdu "plus de 270 de ses employés dans la bande de Ghaza et qu'au moins deux tiers de ses installations avaient été bombardées (pendant l'agression sioniste)". Entre-temps, le complexe de l'agence à El Qods-Est a connu, en mai 2024, trois incidents violents qui ont conduit à l'arrestation de membres du personnel de l'UNRWA dans la région. La responsable de l'UNRWA a signalé que l’UNRWA est la plus grande organisation humanitaire opérant à Ghaza et constitue l’épine dorsale de l’opération dans cette région. Elle a rappelé que l'agence avait acheminé 60% de toute l'aide qui était parvenue à Ghaza depuis le début du cessez-le-feu le 19 janvier, prévenant que si son travail devait s'arrêter, "le sort du très fragile cessez-le-feu serait en danger". Elle a affirmé par la même occasion que "l’UNRWA s’est engagée à rester et à fournir une assistance dans tout le territoire palestinien occupé, qui comprend la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée, y compris El Qods-Est".
GENEVE - L'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a déclaré vendredi avoir perdu plus de 270 de ses employés dans la bande de Ghaza, avertissant que l'interdiction par l'entité sioniste de l'agence onusienne aurait des conséquences désastreuses sur la vie et l'avenir des réfugiés palestiniens.
La directrice de la communication de l'UNRWA, Juliette Touma, a affirmé que la mise en œuvre intégrale desdites lois qui visent à empêcher l'UNRWA de fournir des services, "aurait des conséquences désastreuses sur la vie et l'avenir des réfugiés palestiniens".
S'adressant aux journalistes à Genève, Touma a déclaré que "l'agence n'avait pas encore reçu de communication" des autorités (sionistes) sur la manière dont les deux lois seraient mises en œuvre dans le territoire occupé, mais, selon elle, "les visas des employés internationaux ont expiré il y a deux jours, les obligeant à quitter les territoires palestiniens".
Touma a souligné à l'occasion que l'UNRWA avait perdu "plus de 270 de ses employés dans la bande de Ghaza et qu'au moins deux tiers de ses installations avaient été bombardées (pendant l'agression sioniste)".
Entre-temps, le complexe de l'agence à El Qods-Est a connu, en mai 2024, trois incidents violents qui ont conduit à l'arrestation de membres du personnel de l'UNRWA dans la région.
La responsable de l'UNRWA a signalé que l’UNRWA est la plus grande organisation humanitaire opérant à Ghaza et constitue l’épine dorsale de l’opération dans cette région. Elle a rappelé que l'agence avait acheminé 60% de toute l'aide qui était parvenue à Ghaza depuis le début du cessez-le-feu le 19 janvier, prévenant que si son travail devait s'arrêter, "le sort du très fragile cessez-le-feu serait en danger".
Elle a affirmé par la même occasion que "l’UNRWA s’est engagée à rester et à fournir une assistance dans tout le territoire palestinien occupé, qui comprend la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée, y compris El Qods-Est".