Le Salon africain des affaires : une opportunité pour stimuler les échanges commerciaux et multiplier les opportunités d’investissement
ORAN - La 3e édition du Salon africain des affaires, clôturé lundi à Oran, a constitué une opportunité pour stimuler les échanges commerciaux entre les pays africains et multiplier les opportunités d’investissement, affirment des opérateurs participants, nationaux et étrangers. Ainsi, Hamedi Mansour Abdelkader, assistant du PDG du Holding Getex, spécialisé dans l'habillement et le cuir, a expliqué que "plusieurs participants ont manifesté leur intérêt pour nos produits, notamment l’habillement des corps constitués". De son côté, El Hilal, producteur de cahiers et livres, a confirmé l’intérêt de plusieurs opérateurs africains. Son directeur d’exportation, Chergui Djameï, a ajouté qu’ils ont " récemment acquis une machine pour répondre à des commandes importantes, adaptées aux normes et aux exigences de chaque pays". Les opérateurs africains ont aussi exprimé leur satisfaction quant à la qualité des produits algériens, à l'instar, de Goni Boulama Abdoulkader, responsable d’une société pharmaceutique au Niger qui a fait état de sa rencontre avec "les représentants de Saïdal, une référence connue dans toute l’Afrique, pour établir un partenariat d’affaires". Les témoignages d'autres participants, comme Zeyneb Smida, présidente du Comité internationale des femmes entrepreneures à Tataouine (Tunisie), ont souligné l’attrait des entreprises algériennes dans des secteurs variés, notamment l’agroalimentaire et le textile. Mohamed Hamani, opérateur mauritanien dans le BTPH, a déclaré : "Importer des matériaux d’Algérie est plus avantageux que d’Asie, pour la même qualité, voire meilleure". Le Salon a favorisé des échanges concrets et renforcé le rôle de l’Algérie dans l’intégration économique africaine, en démontrant la compétitivité de ses entreprises à l’échelle continentale. L’ambassadeur du Tchad en Algérie, Moukhtar Wawa Dahab a souligné, pour sa part, que l’industrie algérienne commence à prendre de l’essor de manière exponentielle. "Nous assistons à un essor de l’industrie algérienne, dans plusieurs domaines qui peuvent intéresser beaucoup de pays africains", a-t-il souligné.
ORAN - La 3e édition du Salon africain des affaires, clôturé lundi à Oran, a constitué une opportunité pour stimuler les échanges commerciaux entre les pays africains et multiplier les opportunités d’investissement, affirment des opérateurs participants, nationaux et étrangers.
Ainsi, Hamedi Mansour Abdelkader, assistant du PDG du Holding Getex, spécialisé dans l'habillement et le cuir, a expliqué que "plusieurs participants ont manifesté leur intérêt pour nos produits, notamment l’habillement des corps constitués".
De son côté, El Hilal, producteur de cahiers et livres, a confirmé l’intérêt de plusieurs opérateurs africains. Son directeur d’exportation, Chergui Djameï, a ajouté qu’ils ont " récemment acquis une machine pour répondre à des commandes importantes, adaptées aux normes et aux exigences de chaque pays".
Les opérateurs africains ont aussi exprimé leur satisfaction quant à la qualité des produits algériens, à l'instar, de Goni Boulama Abdoulkader, responsable d’une société pharmaceutique au Niger qui a fait état de sa rencontre avec "les représentants de Saïdal, une référence connue dans toute l’Afrique, pour établir un partenariat d’affaires".
Les témoignages d'autres participants, comme Zeyneb Smida, présidente du Comité internationale des femmes entrepreneures à Tataouine (Tunisie), ont souligné l’attrait des entreprises algériennes dans des secteurs variés, notamment l’agroalimentaire et le textile.
Mohamed Hamani, opérateur mauritanien dans le BTPH, a déclaré : "Importer des matériaux d’Algérie est plus avantageux que d’Asie, pour la même qualité, voire meilleure". Le Salon a favorisé des échanges concrets et renforcé le rôle de l’Algérie dans l’intégration économique africaine, en démontrant la compétitivité de ses entreprises à l’échelle continentale.
L’ambassadeur du Tchad en Algérie, Moukhtar Wawa Dahab a souligné, pour sa part, que l’industrie algérienne commence à prendre de l’essor de manière exponentielle.
"Nous assistons à un essor de l’industrie algérienne, dans plusieurs domaines qui peuvent intéresser beaucoup de pays africains", a-t-il souligné.