Présidentielle: les électeurs votent au Sud du pays avec des attentes dans divers domaines
OUARGLA - Les électeurs des wilayas du Sud du pays fondent, à travers leur participation au scrutin pour la présidentielle, leurs espoirs sur le futur président élu pour consolider la dynamique de développement dans ces wilayas et la prise en charge de leurs attentes dans divers domaines et l'amélioration de leurs conditions de vie, selon les impressions recueillies par les journalistes de l'APS au niveau de centres de vote. Approché par l'APS au sortir du bureau de vote de l'école primaire "Moussa Ben-Noçair" ouvert au quartier Sersouf à Tamanrasset, Mohamed Chinoune, étudiant, a affirmé que "participer aux élections est un devoir national à mettre à profit pour choisir le nouveau président", ajoutant que "Tamanrasset demeure en quête de nouveaux programmes de développement, dont les infrastructures, l'ouverture d'espaces et structures pour les jeunes, l'accompagnement des éleveurs, la création d'emplois et le développement de projets d'investissement". Abondant dans le même sens, Cheikh Guemama, septuagénaire de la wilaya de Djanet, a émis le souhait de voir le nouveau président élu œuvrer au développement des infrastructures de cette jeune wilaya qui, a-t-il dit, a besoin de projets de développement durable, dont les transports, l'approvisionnement en eau potable, le soutien à l'agriculture et le développement des zones frontalières enclavées et déshéritées. Rencontré au centre de vote, Ahmed Bella, trentenaire et étudiant universitaire, attend du futur président de développer le secteur des technologies, d'œuvrer à la création d'emplois au profit des jeunes, de soutenir les microprojets et les startups, et d'accorder davantage d'intérêt au développement de la recherche scientifique et numérique. Pour sa part, Mme Fatima Ouani, quinquagénaire, femme au foyer de Djanet, espère pour sa part du futur président d'œuvrer à l'amélioration des secteurs de la santé et de l'enseignement, de lancer des programmes d'appui à la femme productive, à l'artisanat et au tourisme dans cette région saharienne à vocation touristique. Ahmed Ouled-Brahim a indiqué, de son côté, après avoir voté au centre "Chahid Souissi Khoudir El-Merk" dans la commune de Daya Ben-Dahoua (wilaya de Ghardaïa), que "voter est un devoir national, notamment pour le choix du futur président, appelé à contribuer à la réalisation d'un développement local et à impulser l'agriculture rurale". Mme Maâche Linda, inscrite au niveau du même centre de vote, espère, à travers cette présidentielle, une contribution à la dynamisation de l'action de développement et la création d'emplois. Dans la commune d'El-Oued, Chaïma Soltani, 38 ans, inscrite au bureau ouvert à l'école primaire "Kina Salah", estime qu'"il est du devoir du citoyen de se rendre aux urnes en force pour contribuer à l'édification et la stabilité du pays". Larbi Ramdhane, personne aux besoins spécifiques, a appelé, après s'être acquitté de son devoir au centre mixte "Chahid Benabderrahmane Mohamed" à El-Meniaâ, à la nécessité de voter et de choisir l'homme adéquat à la présidence du pays pour achever le processus d'édification de l'Algérie Nouvelle. El-Hadja Zineb, octogénaire, veuve de Moudjahid, inscrite au centre mixte "Larbi Tébessi" à El-Meghaïer, a souligné que "voter est un devoir national pour préserver la patrie", avant d'espérer du président élu d'être "fidèle au message des Chouhada et des Moudjahidine". Le scrutin, qui a enregistré, dès ses premières heures, l'affluence des électeurs aux centres de vote, se déroule dans de bonnes conditions d'organisation. Plus de 2,9 millions d'électeurs et électrices, répartis sur plus de 1.160 centres électoraux, coiffant plus de 10.300 bureaux de vote, dont 85 bureaux itinérants, déployés à travers 18 wilayas du Sud du pays, sont attendus pour se prononcer sur l'un des trois candidats en lice à cette présidentielle pour laquelle ont été mobilisés les moyens humains et matériels nécessaires à la réussite de cet évènement national.
OUARGLA - Les électeurs des wilayas du Sud du pays fondent, à travers leur participation au scrutin pour la présidentielle, leurs espoirs sur le futur président élu pour consolider la dynamique de développement dans ces wilayas et la prise en charge de leurs attentes dans divers domaines et l'amélioration de leurs conditions de vie, selon les impressions recueillies par les journalistes de l'APS au niveau de centres de vote.
Approché par l'APS au sortir du bureau de vote de l'école primaire "Moussa Ben-Noçair" ouvert au quartier Sersouf à Tamanrasset, Mohamed Chinoune, étudiant, a affirmé que "participer aux élections est un devoir national à mettre à profit pour choisir le nouveau président", ajoutant que "Tamanrasset demeure en quête de nouveaux programmes de développement, dont les infrastructures, l'ouverture d'espaces et structures pour les jeunes, l'accompagnement des éleveurs, la création d'emplois et le développement de projets d'investissement".
Abondant dans le même sens, Cheikh Guemama, septuagénaire de la wilaya de Djanet, a émis le souhait de voir le nouveau président élu œuvrer au développement des infrastructures de cette jeune wilaya qui, a-t-il dit, a besoin de projets de développement durable, dont les transports, l'approvisionnement en eau potable, le soutien à l'agriculture et le développement des zones frontalières enclavées et déshéritées.
Rencontré au centre de vote, Ahmed Bella, trentenaire et étudiant universitaire, attend du futur président de développer le secteur des technologies, d'œuvrer à la création d'emplois au profit des jeunes, de soutenir les microprojets et les startups, et d'accorder davantage d'intérêt au développement de la recherche scientifique et numérique.
Pour sa part, Mme Fatima Ouani, quinquagénaire, femme au foyer de Djanet, espère pour sa part du futur président d'œuvrer à l'amélioration des secteurs de la santé et de l'enseignement, de lancer des programmes d'appui à la femme productive, à l'artisanat et au tourisme dans cette région saharienne à vocation touristique.
Ahmed Ouled-Brahim a indiqué, de son côté, après avoir voté au centre "Chahid Souissi Khoudir El-Merk" dans la commune de Daya Ben-Dahoua (wilaya de Ghardaïa), que "voter est un devoir national, notamment pour le choix du futur président, appelé à contribuer à la réalisation d'un développement local et à impulser l'agriculture rurale".
Mme Maâche Linda, inscrite au niveau du même centre de vote, espère, à travers cette présidentielle, une contribution à la dynamisation de l'action de développement et la création d'emplois.
Dans la commune d'El-Oued, Chaïma Soltani, 38 ans, inscrite au bureau ouvert à l'école primaire "Kina Salah", estime qu'"il est du devoir du citoyen de se rendre aux urnes en force pour contribuer à l'édification et la stabilité du pays".
Larbi Ramdhane, personne aux besoins spécifiques, a appelé, après s'être acquitté de son devoir au centre mixte "Chahid Benabderrahmane Mohamed" à El-Meniaâ, à la nécessité de voter et de choisir l'homme adéquat à la présidence du pays pour achever le processus d'édification de l'Algérie Nouvelle.
El-Hadja Zineb, octogénaire, veuve de Moudjahid, inscrite au centre mixte "Larbi Tébessi" à El-Meghaïer, a souligné que "voter est un devoir national pour préserver la patrie", avant d'espérer du président élu d'être "fidèle au message des Chouhada et des Moudjahidine".
Le scrutin, qui a enregistré, dès ses premières heures, l'affluence des électeurs aux centres de vote, se déroule dans de bonnes conditions d'organisation.
Plus de 2,9 millions d'électeurs et électrices, répartis sur plus de 1.160 centres électoraux, coiffant plus de 10.300 bureaux de vote, dont 85 bureaux itinérants, déployés à travers 18 wilayas du Sud du pays, sont attendus pour se prononcer sur l'un des trois candidats en lice à cette présidentielle pour laquelle ont été mobilisés les moyens humains et matériels nécessaires à la réussite de cet évènement national.
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