63e anniversaire de la Fête de la victoire: le couronnement d'un long parcours de sacrifices pour le recouvrement de la souveraineté nationale
ALGER- L'Algérie célèbre, mercredi, le 63e anniversaire de la Fête de la victoire (19 mars 1962), une date charnière ayant couronné un long parcours de sacrifices consentis par le peuple algérien pour le recouvrement de sa souveraineté nationale. L'Algérie se remémore une étape importante de l'histoire de sa glorieuse Guerre de libération, alors qu'elle s'achemine, aujourd'hui, à pas sûrs, vers le développement et le progrès, en consacrant les fondements de "l'Algérie victorieuse" que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune œuvre à consolider. Cette date est l'aboutissement d'un long parcours de luttes et de sacrifices incommensurables consentis par le peuple algérien pour le recouvrement de sa liberté, de son indépendance et de sa souveraineté nationale. Après sept ans et demi de résistance et de lutte armée, les autorités coloniales ont été contraintes de négocier avec le Front de libération nationale (FLN), le représentant légitime et unique du peuple algérien. Le cessez-le-feu a pris effet le 19 mars 1962 après la signature des accords d'Evian entre le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) et le gouvernement de l'occupation française le 18 mars 1962, fruit d'une année de rudes négociations. Il sera suivi par la tenue d'un référendum d'autodétermination le 1er juillet 1962 et couronné par l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet de la même année, mettant ainsi fin à une tragédie qui a duré 132 ans. La délégation algérienne aux négociations d'Evian était conduite par le ministre des Affaires étrangères du GPRA, Krim Belkacem et la délégation française par Louis Joxe, sachant que ces négociations se sont déroulées en deux rounds à Evian. Ce fut un long et pénible périple pour arriver aux accords d'Evian, dont la voie fut balisée par le sang de millions de chouhada et les efforts des chefs de la Révolution qui ont accompagné la lutte armée par l'action politique et diplomatique, ce qui a permis l'internationalisation de la cause algérienne dans les fora internationaux et la mobilisation du soutien international en sa faveur. Le fête de la victoire intervient cette année alors que l'Algérie s'achemine vers le parachèvement du processus de construction et d'édification, grâce aux réformes profondes initiées par le président de la République qui a relevé le plafond des ambitions pour de meilleures performances dans divers domaines dans le cadre d'un programme global visant à construire un Etat capable de relever les plus grands défis. Et parce que le message éternel des Chouhada et des moudjahidine demeure le rempart inébranlable qui maintient l'Algérie unifiée et préserve l'unité et la cohésion nationales face aux campagnes hostiles, le président de la République a toujours insisté sur l'importance de l'attachement au dossier de la mémoire nationale "un dossier inaliénable et imprescriptible, qui ne peut faire l'objet de concession ou de marchandage et qui restera au centre de nos préoccupations, jusqu'à ce qu'il bénéficie d'un traitement objectif à même de rétablir la vérité historique". Et de souligner que "les sacrifices de nos martyrs tombés durant la résistance et la glorieuse Guerre de libération sont plus précieux que des milliards de dollars" affirmant que l'Algérie "ne demande pas à l'ancien colonisateur une réparation matérielle mais la reconnaissance de ses crimes". La conscience historique étant la base pour construire l'avenir, le président de la République a lancé le défi de "l'orientation vers un développement stratégique avec ses dimensions politique, sociale et économique", un défi des plus difficiles mais que les Algériens, a-t-il dit, "comptent relever et c'est là l'expression la plus sincère de notre fidélité à nos valeureux chouhada".

ALGER- L'Algérie célèbre, mercredi, le 63e anniversaire de la Fête de la victoire (19 mars 1962), une date charnière ayant couronné un long parcours de sacrifices consentis par le peuple algérien pour le recouvrement de sa souveraineté nationale.
L'Algérie se remémore une étape importante de l'histoire de sa glorieuse Guerre de libération, alors qu'elle s'achemine, aujourd'hui, à pas sûrs, vers le développement et le progrès, en consacrant les fondements de "l'Algérie victorieuse" que le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune œuvre à consolider.
Cette date est l'aboutissement d'un long parcours de luttes et de sacrifices incommensurables consentis par le peuple algérien pour le recouvrement de sa liberté, de son indépendance et de sa souveraineté nationale.
Après sept ans et demi de résistance et de lutte armée, les autorités coloniales ont été contraintes de négocier avec le Front de libération nationale (FLN), le représentant légitime et unique du peuple algérien.
Le cessez-le-feu a pris effet le 19 mars 1962 après la signature des accords d'Evian entre le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) et le gouvernement de l'occupation française le 18 mars 1962, fruit d'une année de rudes négociations. Il sera suivi par la tenue d'un référendum d'autodétermination le 1er juillet 1962 et couronné par l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet de la même année, mettant ainsi fin à une tragédie qui a duré 132 ans.
La délégation algérienne aux négociations d'Evian était conduite par le ministre des Affaires étrangères du GPRA, Krim Belkacem et la délégation française par Louis Joxe, sachant que ces négociations se sont déroulées en deux rounds à Evian.
Ce fut un long et pénible périple pour arriver aux accords d'Evian, dont la voie fut balisée par le sang de millions de chouhada et les efforts des chefs de la Révolution qui ont accompagné la lutte armée par l'action politique et diplomatique, ce qui a permis l'internationalisation de la cause algérienne dans les fora internationaux et la mobilisation du soutien international en sa faveur.
Le fête de la victoire intervient cette année alors que l'Algérie s'achemine vers le parachèvement du processus de construction et d'édification, grâce aux réformes profondes initiées par le président de la République qui a relevé le plafond des ambitions pour de meilleures performances dans divers domaines dans le cadre d'un programme global visant à construire un Etat capable de relever les plus grands défis.
Et parce que le message éternel des Chouhada et des moudjahidine demeure le rempart inébranlable qui maintient l'Algérie unifiée et préserve l'unité et la cohésion nationales face aux campagnes hostiles, le président de la République a toujours insisté sur l'importance de l'attachement au dossier de la mémoire nationale "un dossier inaliénable et imprescriptible, qui ne peut faire l'objet de concession ou de marchandage et qui restera au centre de nos préoccupations, jusqu'à ce qu'il bénéficie d'un traitement objectif à même de rétablir la vérité historique".
Et de souligner que "les sacrifices de nos martyrs tombés durant la résistance et la glorieuse Guerre de libération sont plus précieux que des milliards de dollars" affirmant que l'Algérie "ne demande pas à l'ancien colonisateur une réparation matérielle mais la reconnaissance de ses crimes".
La conscience historique étant la base pour construire l'avenir, le président de la République a lancé le défi de "l'orientation vers un développement stratégique avec ses dimensions politique, sociale et économique", un défi des plus difficiles mais que les Algériens, a-t-il dit, "comptent relever et c'est là l'expression la plus sincère de notre fidélité à nos valeureux chouhada".