Algérie-Grande Bretagne: rencontre à la Chambre des Lords sur le partenariat bilatéral
LONDRES - La Chambre des Lords britannique a abrité, jeudi à Londres, une rencontre dédiée aux relations algéro-britanniques, rassemblant des personnalités politiques et des représentants de Groupes économiques et des milieux d’affaires pour débattre la mise en connexion et la promotion des liens d’affaires entre les opérateurs des deux pays. Les dirigeants du Conseil d’Affaires algéro-britanique (ABBC) -initiateurs de cette rencontre devenue une tradition annuelle- qui capitalisent de plus de 15 ans d'expérience dans la mise en connexion et la promotion des liens d’affaires entre les deux pays, ont affirmé que "l’Algérie a pris son envol et se développe", soutenant que "le Royaume-Uni devrait l’accompagner". La Baronne Symons, ancienne ministre d’Etat au Commerce, ancienne ministre d’Etat aux Affaires Etrangères, en charge de la région Mena et présidente de la Chambre de commerce arabo-britannique, a souligné que l’économie de l’Algérie se modernise et se diversifie, le climat des affaires est propice et le nouveau code des investissements offre de nombreux stimulants fiscaux", affirmant que "le temps est, donc, à la revitalisation des relations bilatérales". D’autant plus, a assuré l’Ambassadeur d’Algérie au Royaume-Uni, M. Nourredine Yazid, le pays jouit de la stabilité politique et offre à l’exploration et au développement de nombreux domaines d’investissement comme les startups, l’Intelligence artificielle et, plus prometteur encore, le secteur de l’agriculture. Et d’ajouter: La réélection du président de la République M. Abdelmadjid Tebboune et sa détermination à libérer l’Algérie de la dépendance aux hydrocarbures constituent des facteurs adjuvants devant encourager les hommes d’affaires britanniques à aller fructifier davantage leur capitaux dans le pays le plus attractif de la région. Ainsi, M. Yazid s’est réjoui de "la qualité des relations bilatérales", exprimant sa conviction que la prochaine session du dialogue stratégique constituera "une nouvelle occasion pour explorer de nouveaux secteurs de coopération". Pour sa part, la présidente de l’ABBC, Mme Olga Maitland qui a effectué d’innombrables voyages en Algérie, a indiqué que l'Algérie, "plus qu’attractif, elle est en mouvement, est créative et innovante et dispose d’un secteur privé très énergique". Le Commissaire au Commerce britannique pour l’Afrique, M. John Humphrey, a saisi l’opportunité pour rassurer les investisseurs potentiels qu’il les accompagnera, conformément à sa mission, tout au long du processus. De son côté, le patron du Fonds d’investissement "Tell Group", Yacine Bouhara, a affirmé que de nombreux produits algériens ont leurs places sur le marché britannique. Au terme de la rencontre, les organisateurs ont été unanimes à dire,"Il y a un marché à explorer en Algérie, il faut s’en saisir".
LONDRES - La Chambre des Lords britannique a abrité, jeudi à Londres, une rencontre dédiée aux relations algéro-britanniques, rassemblant des personnalités politiques et des représentants de Groupes économiques et des milieux d’affaires pour débattre la mise en connexion et la promotion des liens d’affaires entre les opérateurs des deux pays.
Les dirigeants du Conseil d’Affaires algéro-britanique (ABBC) -initiateurs de cette rencontre devenue une tradition annuelle- qui capitalisent de plus de 15 ans d'expérience dans la mise en connexion et la promotion des liens d’affaires entre les deux pays, ont affirmé que "l’Algérie a pris son envol et se développe", soutenant que "le Royaume-Uni devrait l’accompagner".
La Baronne Symons, ancienne ministre d’Etat au Commerce, ancienne ministre d’Etat aux Affaires Etrangères, en charge de la région Mena et présidente de la Chambre de commerce arabo-britannique, a souligné que l’économie de l’Algérie se modernise et se diversifie, le climat des affaires est propice et le nouveau code des investissements offre de nombreux stimulants fiscaux", affirmant que "le temps est, donc, à la revitalisation des relations bilatérales".
D’autant plus, a assuré l’Ambassadeur d’Algérie au Royaume-Uni, M. Nourredine Yazid, le pays jouit de la stabilité politique et offre à l’exploration et au développement de nombreux domaines d’investissement comme les startups, l’Intelligence artificielle et, plus prometteur encore, le secteur de l’agriculture.
Et d’ajouter: La réélection du président de la République M. Abdelmadjid Tebboune et sa détermination à libérer l’Algérie de la dépendance aux hydrocarbures constituent des facteurs adjuvants devant encourager les hommes d’affaires britanniques à aller fructifier davantage leur capitaux dans le pays le plus attractif de la région.
Ainsi, M. Yazid s’est réjoui de "la qualité des relations bilatérales", exprimant sa conviction que la prochaine session du dialogue stratégique constituera "une nouvelle occasion pour explorer de nouveaux secteurs de coopération".
Pour sa part, la présidente de l’ABBC, Mme Olga Maitland qui a effectué d’innombrables voyages en Algérie, a indiqué que l'Algérie, "plus qu’attractif, elle est en mouvement, est créative et innovante et dispose d’un secteur privé très énergique".
Le Commissaire au Commerce britannique pour l’Afrique, M. John Humphrey, a saisi l’opportunité pour rassurer les investisseurs potentiels qu’il les accompagnera, conformément à sa mission, tout au long du processus.
De son côté, le patron du Fonds d’investissement "Tell Group", Yacine Bouhara, a affirmé que de nombreux produits algériens ont leurs places sur le marché britannique.
Au terme de la rencontre, les organisateurs ont été unanimes à dire,"Il y a un marché à explorer en Algérie, il faut s’en saisir".
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