Attaf reçoit son homologue belge

Le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, a reçu lundi au siège du ministère, le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, des Affaires européennes et de la Coopération au développement du Royaume de Belgique, Maxime Prévot, qui effectue une visite officielle en Algérie, a indiqué un communiqué du ministère.

À cette occasion, le ministre d’État a eu des entretiens en tête-à-tête avec son homologue belge, suivis d’une séance de travail élargie aux membres des délégations des deux pays, ajoute le communiqué.

Ces pourparlers ont permis, selon la même source, de « passer en revue l’état des relations d’amitié et de coopération qui unissent les deux pays et d’examiner les moyens de les hisser à des perspectives plus élevées, conformes aux immenses potentialités dont ils disposent ».

À cet égard, « les deux parties ont convenu de la nécessité de prendre des mesures concrètes pour insuffler une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale, notamment à travers la redynamisation des mécanismes de suivi, la révision du cadre juridique, ainsi que l’encouragement de l’interaction entre les milieux d’affaires en vue de saisir les opportunités de partenariat possibles dans les domaines économiques, tels que les énergies renouvelables, les transports, les mines, l’industrie agroalimentaire et les produits pharmaceutiques », précise le même communiqué.

Sur le plan multilatéral, les deux ministres ont abordé les relations de partenariat entre l’Algérie et l’Union européenne ainsi que les efforts communs visant à renforcer la paix, la sécurité et le développement durable dans l’espace euro-méditerranéen, selon le communiqué.

Ils ont également « échangé leurs vues et analyses sur un ensemble de questions internationales et régionales d’actualité, en particulier les derniers développements de la cause palestinienne, l’évolution de la situation dans la région sahélo-saharienne, ainsi que la guerre russo-ukrainienne », conclut le communiqué du ministère.