Le CNDH salue les progrès réalisés pour renforcer la sécurité hydrique nationale
ALGER - Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) a salué, vendredi, dans un communiqué, les progrès réalisés par l'Algérie en vue de "renforcer la sécurité hydrique", soulignant que les réalisations accomplies dans ce domaine "permettront à notre pays d'atteindre le seuil des pays développés". A l'occasion de la Journée mondiale de l'eau, célébrée ce samedi, le CNDH a salué "les efforts nationaux déployés pour tracer la voie du développement durable, notamment les avancées réalisées dans ce domaine dans le cadre du programme national de réalisation d'usines de dessalement de l'eau de mer visant à renforcer la sécurité hydrique", estimant que les réalisations inaugurées récemment par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, sont "de grands pas" franchis par l'Algérie sur la voie de l'élimination du stress hydrique à même de lui permettre d'être fière "d'atteindre, à pas sûrs, le seuil des pays développés". Dans le cadre de son action, le CNDH porte haut son message "afin de renforcer l'application effective du droit de l'Homme à l'accès à l'eau et aux services d'assainissement, sur la base d'une approche fondée sur les droits de l'Homme", dans l'objectif de progresser vers la mise en œuvre du sixième objectif des Objectifs de développement durable (ODD), ajoute le communiqué. Le Conseil saisit cette occasion pour adresser un message aux institutions concernées, ainsi qu’aux différents acteurs impliqués dans la sécurité hydrique et la garantie du droit à l’eau, les appelant à prendre en compte les principes mis en place par les Nations unies dans ce domaine, ainsi que le cadre législatif national régissant la gestion des ressources hydriques et l’élaboration des politiques publiques adoptées par l’Etat pour mettre en œuvre ses engagements en matière de garantie de droit à l’eau pour tous. Le CNDH propose également un ensemble de recommandations considérées comme des choix stratégiques et des mesures proactives et préventives, à même de préserver cette ressource vitale, étant l'une des priorités de l’Algérie afin de réaliser sa sécurité hydrique, en complément de sa sécurité alimentaire. Parmi ces propositions, figurent aussi le renforcement de la recherche scientifique sur les questions climatiques et hydriques, ainsi que l’élaboration d’études et de plans alternatifs visant à préserver les niveaux des eaux disponibles, en recourant à des équipements modernes de rationalisation. Le Conseil a, par ailleurs, recommandé le renforcement des grands projets de dessalement de l’eau de mer et la diversification de ses utilisations en vue d’atteindre des objectifs économiques et environnementaux allant au-delà de la fourniture de l’eau potable, en sus du recyclage des eaux usées pour leur exploitation, notamment dans les industries gourmandes en eau, conclut le communiqué.


ALGER - Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) a salué, vendredi, dans un communiqué, les progrès réalisés par l'Algérie en vue de "renforcer la sécurité hydrique", soulignant que les réalisations accomplies dans ce domaine "permettront à notre pays d'atteindre le seuil des pays développés".
A l'occasion de la Journée mondiale de l'eau, célébrée ce samedi, le CNDH a salué "les efforts nationaux déployés pour tracer la voie du développement durable, notamment les avancées réalisées dans ce domaine dans le cadre du programme national de réalisation d'usines de dessalement de l'eau de mer visant à renforcer la sécurité hydrique", estimant que les réalisations inaugurées récemment par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, sont "de grands pas" franchis par l'Algérie sur la voie de l'élimination du stress hydrique à même de lui permettre d'être fière "d'atteindre, à pas sûrs, le seuil des pays développés".
Dans le cadre de son action, le CNDH porte haut son message "afin de renforcer l'application effective du droit de l'Homme à l'accès à l'eau et aux services d'assainissement, sur la base d'une approche fondée sur les droits de l'Homme", dans l'objectif de progresser vers la mise en œuvre du sixième objectif des Objectifs de développement durable (ODD), ajoute le communiqué.
Le Conseil saisit cette occasion pour adresser un message aux institutions concernées, ainsi qu’aux différents acteurs impliqués dans la sécurité hydrique et la garantie du droit à l’eau, les appelant à prendre en compte les principes mis en place par les Nations unies dans ce domaine, ainsi que le cadre législatif national régissant la gestion des ressources hydriques et l’élaboration des politiques publiques adoptées par l’Etat pour mettre en œuvre ses engagements en matière de garantie de droit à l’eau pour tous.
Le CNDH propose également un ensemble de recommandations considérées comme des choix stratégiques et des mesures proactives et préventives, à même de préserver cette ressource vitale, étant l'une des priorités de l’Algérie afin de réaliser sa sécurité hydrique, en complément de sa sécurité alimentaire.
Parmi ces propositions, figurent aussi le renforcement de la recherche scientifique sur les questions climatiques et hydriques, ainsi que l’élaboration d’études et de plans alternatifs visant à préserver les niveaux des eaux disponibles, en recourant à des équipements modernes de rationalisation.
Le Conseil a, par ailleurs, recommandé le renforcement des grands projets de dessalement de l’eau de mer et la diversification de ses utilisations en vue d’atteindre des objectifs économiques et environnementaux allant au-delà de la fourniture de l’eau potable, en sus du recyclage des eaux usées pour leur exploitation, notamment dans les industries gourmandes en eau, conclut le communiqué.