L'interdiction de l'entrée de l'aide à Ghaza est "une punition collective" contre la population
NEW YORK (Nations unies) - Le chef de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, a affirmé que l'interdiction par les autorités de l'occupation sioniste de l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Ghaza "est une punition collective" contre la population de l'enclave, ravagée par une agression génocidaire depuis octobre 2023. "Cela fait trois semaines que les autorités (sionistes) ont interdit l'entrée de fournitures à Ghaza. Pas de nourriture, pas de médicaments, pas d'eau, pas de carburant", a déploré M. Lazzarini dans un message publié dimanche soir sur les réseaux sociaux, avant de souligner que "l'interdiction de l'aide est une punition collective" contre la population de Ghaza. Le patron de l'UNRWA a rappelé que "chaque jour qui passe sans que l'aide humanitaire n'arrive signifie que davantage d'enfants se couchent le ventre vide, que les maladies se propagent et que les privations s'aggravent". Et de poursuivre: "Chaque jour sans nourriture rapproche Ghaza d'une crise alimentaire aigue". M. Lazzarini a tenu aussi à rappeler que "la grande majorité de la population de Ghaza est composée d'enfants, de femmes et d'hommes ordinaires", appelant à la levée du siège imposé à l'enclave et soulignant la nécessité de l'acheminement de l'aide humanitaire et des fournitures commerciales "sans interruption et à grande échelle".


NEW YORK (Nations unies) - Le chef de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, a affirmé que l'interdiction par les autorités de l'occupation sioniste de l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Ghaza "est une punition collective" contre la population de l'enclave, ravagée par une agression génocidaire depuis octobre 2023.
"Cela fait trois semaines que les autorités (sionistes) ont interdit l'entrée de fournitures à Ghaza. Pas de nourriture, pas de médicaments, pas d'eau, pas de carburant", a déploré M. Lazzarini dans un message publié dimanche soir sur les réseaux sociaux, avant de souligner que "l'interdiction de l'aide est une punition collective" contre la population de Ghaza.
Le patron de l'UNRWA a rappelé que "chaque jour qui passe sans que l'aide humanitaire n'arrive signifie que davantage d'enfants se couchent le ventre vide, que les maladies se propagent et que les privations s'aggravent". Et de poursuivre: "Chaque jour sans nourriture rapproche Ghaza d'une crise alimentaire aigue".
M. Lazzarini a tenu aussi à rappeler que "la grande majorité de la population de Ghaza est composée d'enfants, de femmes et d'hommes ordinaires", appelant à la levée du siège imposé à l'enclave et soulignant la nécessité de l'acheminement de l'aide humanitaire et des fournitures commerciales "sans interruption et à grande échelle".