Ghaza : la survie des habitants dépend exclusivement de l'aide humanitaire
NEW YORK- L'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a averti dimanche que les Palestiniens de Ghaza étaient devenus exclusivement dépendants de l'aide humanitaire dans un contexte d'affaiblissement continu de la capacité de l'ONU à remplir son mandat. Dans une publication sur les réseaux sociaux, l'agence a cité la plainte de Jamila, une Palestinienne déplacée, âgée de 80 ans, qui n'a pas pu obtenir de médicaments après le départ de l'agence de l'Unrwa de sa région Khan Younes, en raison de la restriction imposée par l'occupation sioniste. "J'ai parcouru de longues distances et traversé de grandes foules de gens pour arriver à la clinique ici à Khan Younes pour obtenir mes médicaments. J'ai des maladies chroniques, et pourtant je ne trouve aucun remède disponible", a rapporté l'Unrwa, reprenant le témoignage de Jamila. Elle a ajouté: " Je dépendais entièrement de l'UNRWA pour fournir les soins de santé pour moi et l'éducation pour mes enfants et mes petits-enfants. Aujourd'hui, je suis confrontée à une réalité effrayante: qui nous soutiendra si l'UNRWA n'existe pas ?". Dans la même publication, l'agence a commenté : " A Ghaza, déchirée par l'agression sioniste, les civils, comme Jamila, sont laissés à l'exclusivité de l'aide humanitaire. La capacité de l'ONU à remplir son mandat est continuellement compromise". L'occupation israélienne continue de contrôler l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Ghaza, au milieu d'une crise humanitaire étouffante et de la famine, en particulier dans le nord de la Bande, et refuse de coopérer avec les organisations internationales pour l'entrée de médicaments, de nourriture et de besoins fondamentaux.
NEW YORK- L'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a averti dimanche que les Palestiniens de Ghaza étaient devenus exclusivement dépendants de l'aide humanitaire dans un contexte d'affaiblissement continu de la capacité de l'ONU à remplir son mandat.
Dans une publication sur les réseaux sociaux, l'agence a cité la plainte de Jamila, une Palestinienne déplacée, âgée de 80 ans, qui n'a pas pu obtenir de médicaments après le départ de l'agence de l'Unrwa de sa région Khan Younes, en raison de la restriction imposée par l'occupation sioniste.
"J'ai parcouru de longues distances et traversé de grandes foules de gens pour arriver à la clinique ici à Khan Younes pour obtenir mes médicaments.
J'ai des maladies chroniques, et pourtant je ne trouve aucun remède disponible", a rapporté l'Unrwa, reprenant le témoignage de Jamila.
Elle a ajouté: " Je dépendais entièrement de l'UNRWA pour fournir les soins de santé pour moi et l'éducation pour mes enfants et mes petits-enfants. Aujourd'hui, je suis confrontée à une réalité effrayante: qui nous soutiendra si l'UNRWA n'existe pas ?".
Dans la même publication, l'agence a commenté : " A Ghaza, déchirée par l'agression sioniste, les civils, comme Jamila, sont laissés à l'exclusivité de l'aide humanitaire. La capacité de l'ONU à remplir son mandat est continuellement compromise".
L'occupation israélienne continue de contrôler l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Ghaza, au milieu d'une crise humanitaire étouffante et de la famine, en particulier dans le nord de la Bande, et
refuse de coopérer avec les organisations internationales pour l'entrée de médicaments, de nourriture et de besoins fondamentaux.
Quelle est votre réaction ?