La présidence palestinienne met en garde contre les dangers du projet sioniste visant l'interdiction de l'UNRWA
GHAZA - La présidence palestinienne a mis en garde, lundi, contre les dangers du projet sioniste visant l'interdiction de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), indiquant que cette législation constitue une "violation du droit international et une provocation pour la communauté internationale dans son ensemble". La présidence a souligné en outre que "l’UNRWA est une ligne rouge, que la question des réfugiés est au cœur de la question palestinienne et qu’il n’y a pas de solution sans une solution juste à la question des réfugiés conformément aux résolutions internationales et au droit international", notant que l’UNRWA a été créée conformément à une résolution de l’ONU du 18 décembre 1949. Le parlement sioniste devrait voter ce lundi deux projets de loi qui menacent l’avenir de l’UNRWA. Le premier interdit à l’UNRWA d’opérer à El Qods occupée, tandis que le second prévoit "le retrait des privilèges et immunités" accordés aux employés de l’agence des Nations Unies
GHAZA - La présidence palestinienne a mis en garde, lundi, contre les dangers du projet sioniste visant l'interdiction de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), indiquant que cette législation constitue une "violation du droit international et une provocation pour la communauté internationale dans son ensemble".
La présidence a souligné en outre que "l’UNRWA est une ligne rouge, que la question des réfugiés est au cœur de la question palestinienne et qu’il n’y a pas de solution sans une solution juste à la question des réfugiés conformément aux résolutions internationales et au droit international", notant que l’UNRWA a été créée conformément à une résolution de l’ONU du 18 décembre 1949.
Le parlement sioniste devrait voter ce lundi deux projets de loi qui menacent l’avenir de l’UNRWA. Le premier interdit à l’UNRWA d’opérer à El Qods occupée, tandis que le second prévoit "le retrait des privilèges et immunités" accordés aux employés de l’agence des Nations Unies
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