Réseaux sociaux : censure de contenus palestiniens au milieu du génocide sioniste à Ghaza
GHAZA- Une enquête du média britannique la BBC a révélé que des réseaux sociaux avait restreint plusieurs pages d'information palestiniennes, obstruant leur accès au public et les empêchant de délivrer leur message au milieu du génocide en cours dans la bande de Ghaza depuis plus de 14 mois. L'enquête a analysé les données d'interaction des pages Facebook de 20 institutions de presse palestiniennes de premier plan, en les comparant aux données de l'année précédant le début de la guerre à Ghaza, le 7 octobre 2023. L'enquête a révélé" une diminution de 77 % de l'interaction du public sur les pages d'actualité palestiniennes sur Facebook par rapport aux niveaux d'avant-guerre, malgré les attentes d'un engagement accru en temps de conflit". La BBC a rapporté que pendant plus d'un an de génocide, les journalistes palestiniens ont été victimes du "shadow-banning" sur les plateformes de médias sociaux, une pratique de Meta qui restreint la visibilité de leur contenu à un public limité. En plus de "Facebook", la plateforme "Instagram", également détenue par "Meta", a intensifié sa censure des commentaires des utilisateurs palestiniens après le 7 octobre, selon des documents divulgués et examinés par la BBC. L'enquête a notamment porté sur les témoignages de cinq employés d'Instagram concernant les changements apportés à l'algorithme de la plateforme. Ces changements ont renforcé la surveillance et la censure des commentaires palestiniens sur les publications partagées via Instagram. Depuis le déclenchement de la guerre dévastatrice contre la bande de Gaza en octobre 2023, l'incitation numérique sioniste et la propagation de discours de haine contre la Palestine se sont intensifiées, mettant en évidence la guerre numérique menée par l'occupation sioniste parallèlement au génocide en cours dans la bande de Ghaza.
GHAZA- Une enquête du média britannique la BBC a révélé que des réseaux sociaux avait restreint plusieurs pages d'information palestiniennes, obstruant leur accès au public et les empêchant de délivrer leur message au milieu du génocide en cours dans la bande de Ghaza depuis plus de 14 mois.
L'enquête a analysé les données d'interaction des pages Facebook de 20 institutions de presse palestiniennes de premier plan, en les comparant aux données de l'année précédant le début de la guerre à Ghaza, le 7 octobre 2023.
L'enquête a révélé" une diminution de 77 % de l'interaction du public sur les pages d'actualité palestiniennes sur Facebook par rapport aux niveaux d'avant-guerre, malgré les attentes d'un engagement accru en temps de conflit".
La BBC a rapporté que pendant plus d'un an de génocide, les journalistes palestiniens ont été victimes du "shadow-banning" sur les plateformes de médias sociaux, une pratique de Meta qui restreint la visibilité de leur contenu à un public limité.
En plus de "Facebook", la plateforme "Instagram", également détenue par "Meta", a intensifié sa censure des commentaires des utilisateurs palestiniens après le 7 octobre, selon des documents divulgués et examinés par la BBC.
L'enquête a notamment porté sur les témoignages de cinq employés d'Instagram concernant les changements apportés à l'algorithme de la plateforme. Ces changements ont renforcé la surveillance et la censure des commentaires palestiniens sur les publications partagées via Instagram.
Depuis le déclenchement de la guerre dévastatrice contre la bande de Gaza en octobre 2023, l'incitation numérique sioniste et la propagation de discours de haine contre la Palestine se sont intensifiées, mettant en évidence la guerre numérique menée par l'occupation sioniste parallèlement au génocide en cours dans la bande de Ghaza.
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