Fin des travaux du deuxième jour de la 3e édition de la Conférence africaine des start-up
ALGER-Les travaux du deuxième jour de la 3e édition de la Conférence africaine des start-up, prévue jusqu'à samedi, ont pris fin vendredi au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal (Alger). Le deuxième jour de cet événement continental a été marqué par la tenue du Sommet ministériel africain des start-up, lors duquel les ministres africains ont discuté du programme du Secrétariat général de la conférence et d'une feuille de route visant à accompagner la Stratégie africaine en matière d'Intelligence artificielle. A ce propos, le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, a indiqué que "deux thèmes importants ont été discutés, à savoir le programme du Secrétariat général de la conférence 2025-2063, qui sera adopté ultérieurement lors de la réunion ministérielle, et une feuille de route pour accompagner la Stratégie africaine en matière d'intelligence artificielle, en vue de proposer des solutions et des initiatives à même de permettre aux start-up et aux innovateurs d'utiliser l'Intelligence artificielle pour créer de la richesse en Afrique et en faire une locomotive du développement durable, en phase avec le thème de cette édition". Le deuxième jour de cet évènement continental a également vu l'organisation de plusieurs conférences animées par des experts, des opérateurs économiques et des décideurs sur différentes thématiques liées à l'Intelligence artificielle dans l'éducation, à l'écosystème des start-up et à la cybersécurité. En marge de cette conférence, une exposition de start-up a été organisée et des rencontres B2B se sont tenues entre des start-up algériennes et étrangères Placée sous le haut patronage du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, cette édition est organisée par le ministère de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises et l'accélérateur public Algeria Venture, avec la participation de plus de 500 start-up et de 100 investisseurs de 50 pays africains.
ALGER-Les travaux du deuxième jour de la 3e édition de la Conférence africaine des start-up, prévue jusqu'à samedi, ont pris fin vendredi au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal (Alger).
Le deuxième jour de cet événement continental a été marqué par la tenue du Sommet ministériel africain des start-up, lors duquel les ministres africains ont discuté du programme du Secrétariat général de la conférence et d'une feuille de route visant à accompagner la Stratégie africaine en matière d'Intelligence artificielle.
A ce propos, le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Noureddine Ouadah, a indiqué que "deux thèmes importants ont été discutés, à savoir le programme du Secrétariat général de la conférence 2025-2063, qui sera adopté ultérieurement lors de la réunion ministérielle, et une feuille de route pour accompagner la Stratégie africaine en matière d'intelligence artificielle, en vue de proposer des solutions et des initiatives à même de permettre aux start-up et aux innovateurs d'utiliser l'Intelligence artificielle pour créer de la richesse en Afrique et en faire une locomotive du développement durable, en phase avec le thème de cette édition".
Le deuxième jour de cet évènement continental a également vu l'organisation de plusieurs conférences animées par des experts, des opérateurs économiques et des décideurs sur différentes thématiques liées à l'Intelligence artificielle dans l'éducation, à l'écosystème des start-up et à la cybersécurité.
En marge de cette conférence, une exposition de start-up a été organisée et des rencontres B2B se sont tenues entre des start-up algériennes et étrangères
Placée sous le haut patronage du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, cette édition est organisée par le ministère de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises et l'accélérateur public Algeria Venture, avec la participation de plus de 500 start-up et de 100 investisseurs de 50 pays africains.
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