Ghaza: Lazzarini exige des enquêtes sur le non-respect par l'entité sioniste du droit international humanitaire
GHAZA - Le Commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), Philippe Lazzarini, a appelé mardi à des enquêtes indépendantes sur le non-respect par l'occupant sioniste des règles de la protection des travailleurs humanitaires durant son agression génocidaire lancée il y a 15 mois contre la bande de Ghaza. "Je réitère mon appel à des enquêtes indépendantes sur le non-respect systématique (par l'entité sioniste) de la protection des travailleurs humanitaires. Cela ne peut pas devenir la norme et l'impunité ne pas devenir aussi la nouvelle norme", a écrit M. Lazzarini dans un message sur les réseaux sociaux. "Quinze mois après le début de la guerre à Ghaza, les horreurs continuent sans relâche sous les yeux du monde entier", a-t-il déploré avant d'ajouter: "Depuis l'intensification des opérations militaires (sionistes) dans le nord de Ghaza il y a près de trois mois, on constate une augmentation significative des attaques contre notre personnel, nos bâtiments et nos opérations". Et de préciser, dans ce contexte, que depuis le début de l'agression sioniste le 7 octobre 2023 contre Ghaza, "258 membres du personnel de l'UNRWA ont été tués et près de 650 incidents contre les bâtiments et installations de l'UNRWA ont été enregistrés". De plus, a ajouté le patron de l'UNRWA, "au moins 745 personnes ont été tuées dans nos abris alors qu'elles cherchaient la protection des Nations unies et plus de 2.200 autres ont été blessées". Et plus, "deux tiers des bâtiments de l'UNRWA sont aujourd'hui endommagés ou détruits. La grande majorité d'entre eux servaient d'écoles pour enfants avant la guerre", a-t-il déploré. Lazzarini a conclu dans son message: "Les règles de la guerre sont claires: les travailleurs humanitaires et les infrastructures civiles y compris les hôpitaux et les bâtiments des Nations unies ne sont pas une cible. La population civile doit être assistée et protégée à tout moment". "Il est temps de faciliter l'accès humanitaire pour atteindre les personnes dans le besoin où qu'elles se trouvent et de lever le siège de Ghaza pour acheminer les fournitures humanitaires indispensables notamment pour l'hiver", a-t-il préconisé.
GHAZA - Le Commissaire général de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), Philippe Lazzarini, a appelé mardi à des enquêtes indépendantes sur le non-respect par l'occupant sioniste des règles de la protection des travailleurs humanitaires durant son agression génocidaire lancée il y a 15 mois contre la bande de Ghaza.
"Je réitère mon appel à des enquêtes indépendantes sur le non-respect systématique (par l'entité sioniste) de la protection des travailleurs humanitaires. Cela ne peut pas devenir la norme et l'impunité ne pas devenir aussi la nouvelle norme", a écrit M. Lazzarini dans un message sur les réseaux sociaux.
"Quinze mois après le début de la guerre à Ghaza, les horreurs continuent sans relâche sous les yeux du monde entier", a-t-il déploré avant d'ajouter: "Depuis l'intensification des opérations militaires (sionistes) dans le nord de Ghaza il y a près de trois mois, on constate une augmentation significative des attaques contre notre personnel, nos bâtiments et nos opérations".
Et de préciser, dans ce contexte, que depuis le début de l'agression sioniste le 7 octobre 2023 contre Ghaza, "258 membres du personnel de l'UNRWA ont été tués et près de 650 incidents contre les bâtiments et installations de l'UNRWA ont été enregistrés". De plus, a ajouté le patron de l'UNRWA, "au moins 745 personnes ont été tuées dans nos abris alors qu'elles cherchaient la protection des Nations unies et plus de 2.200 autres ont été blessées".
Et plus, "deux tiers des bâtiments de l'UNRWA sont aujourd'hui endommagés ou détruits. La grande majorité d'entre eux servaient d'écoles pour enfants avant la guerre", a-t-il déploré. Lazzarini a conclu dans son message: "Les règles de la guerre sont claires: les travailleurs humanitaires et les infrastructures civiles y compris les hôpitaux et les bâtiments des Nations unies ne sont pas une cible. La population civile doit être assistée et protégée à tout moment".
"Il est temps de faciliter l'accès humanitaire pour atteindre les personnes dans le besoin où qu'elles se trouvent et de lever le siège de Ghaza pour acheminer les fournitures humanitaires indispensables notamment pour l'hiver", a-t-il préconisé.
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