Justice : ouverture de la nouvelle année judiciaire 2024-2025 à la Cour d'Alger
ALGER - La nouvelle année judiciaire 2024-2025 a été ouverte, jeudi, au siège de la Cour d'Alger, après son ouverture officielle au niveau national par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Dans son allocution à cette occasion, la présidente de la Cour d'Alger, Douniazed Guellati, a rappelé "les directives éclairées du Président de la République lors de l'ouverture de l'année judiciaire", affirmant que "cette confiance renforce l'engagement des magistrats, dans le cadre de l'accomplissement de leur noble mission dans l'application de la loi et le renforcement du droit, à consolider les fondements institutionnels de notre pays, pour hisser l'Algérie aux plus hauts niveaux de progrès dans tous les domaines". "La précédente année judicaire a été fructueuse à tous les niveaux, notamment en matière de poursuite de la lutte contre la corruption et la consécration du processus de récupération des fonds et biens de l'Etat détournés", a-t-elle ajouté. Mme Guellati a exprimé son attachement à "une gestion basée sur la confiance mutuelle, veillant à une saine application de la loi et à la protection des intérêts suprêmes du pays. Elle a également souligné l'importance d'exploiter les moyens disponibles, notamment la numérisation, afin de garantir un service de qualité et une résolution rapide et efficace des litiges, renforçant ainsi la confiance du citoyen dans la justice de son pays". "L'année judiciaire 2023-2024 a enregistré des avancées remarquables, que ce soit au niveau des textes juridiques ou du renforcement des juridictions", a dit la présidente de la Cour d'Alger, ajoutant que ces réformes ont eu un impact significatif sur l'amélioration du travail judiciaire, notamment dans la lutte contre toutes les formes de criminalité, menaçant l'économie nationale et l'ordre public, tout en mettant en place des mécanismes judiciaires visant la protection des catégories vulnérables. Dans le même contexte, le premier procureur général adjoint près la Cour d'Alger, Tahar Messaoudi, a présenté le bilan d'activité de la Cour et des tribunaux qui en relèvent, insistant sur l'amélioration de la qualité des services fournis au niveau du guichet unique, tout en rappelant que la mise en œuvre par la Cour du système de paiement électronique des frais de dépôt des dossiers pour les avocats.
ALGER - La nouvelle année judiciaire 2024-2025 a été ouverte, jeudi, au siège de la Cour d'Alger, après son ouverture officielle au niveau national par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM).
Dans son allocution à cette occasion, la présidente de la Cour d'Alger, Douniazed Guellati, a rappelé "les directives éclairées du Président de la République lors de l'ouverture de l'année judiciaire", affirmant que "cette confiance renforce l'engagement des magistrats, dans le cadre de l'accomplissement de leur noble mission dans l'application de la loi et le renforcement du droit, à consolider les fondements institutionnels de notre pays, pour hisser l'Algérie aux plus hauts niveaux de progrès dans tous les domaines".
"La précédente année judicaire a été fructueuse à tous les niveaux, notamment en matière de poursuite de la lutte contre la corruption et la consécration du processus de récupération des fonds et biens de l'Etat détournés", a-t-elle ajouté.
Mme Guellati a exprimé son attachement à "une gestion basée sur la confiance mutuelle, veillant à une saine application de la loi et à la protection des intérêts suprêmes du pays. Elle a également souligné l'importance d'exploiter les moyens disponibles, notamment la numérisation, afin de garantir un service de qualité et une résolution rapide et efficace des litiges, renforçant ainsi la confiance du citoyen dans la justice de son pays".
"L'année judiciaire 2023-2024 a enregistré des avancées remarquables, que ce soit au niveau des textes juridiques ou du renforcement des juridictions", a dit la présidente de la Cour d'Alger, ajoutant que ces réformes ont eu un impact significatif sur l'amélioration du travail judiciaire, notamment dans la lutte contre toutes les formes de criminalité, menaçant l'économie nationale et l'ordre public, tout en mettant en place des mécanismes judiciaires visant la protection des catégories vulnérables.
Dans le même contexte, le premier procureur général adjoint près la Cour d'Alger, Tahar Messaoudi, a présenté le bilan d'activité de la Cour et des tribunaux qui en relèvent, insistant sur l'amélioration de la qualité des services fournis au niveau du guichet unique, tout en rappelant que la mise en œuvre par la Cour du système de paiement électronique des frais de dépôt des dossiers pour les avocats.
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